Gladiateurs, chasseurs et condamnés à mort. Le spectacle du sang dans l'amphithéâtre

Par : François Gilbert

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  • Nombre de pages172
  • PrésentationRelié
  • Poids0.942 kg
  • Dimensions22,7 cm × 28,8 cm × 1,5 cm
  • ISBN979-10-91458-03-0
  • EAN9791091458030
  • Date de parution05/04/2013
  • CollectionArchéologie vivante
  • ÉditeurArchéologie Nouvelle

Résumé

La mort érigée en spectacle apparaît chez les Etrusques dans les munera offerts en l'honneur de parents défunts. Ensuite, chez les Romains, ces jeux furent offerts par les puissants à leurs concitoyens et devinrent avec le temps de plus en plus grandioses et violents. Leur succès provoqua la construction d'énormes amphithéâtres à travers tout l'Empire. S'y déroulaient non seulement des combats de gladiateurs, mais des chasses aux animaux féroces, reconstituées dans des décors imitant des paysages lointains.
On y appliquait également des peines de mort où les condamnés étaient livrés aux bêtes sauvages. Ces lieux virent aussi se dérouler des naumachies, combats navals dans des bassins aménagés au centre de l'arène. Des hommes et parfois des femmes, engagés volontairement ou contre leur gré, consacraient leur vie à ces grands spectacles qui attirèrent des foules considérables pendant des siècles. Les chrétiens, après en avoir été des victimes, abolirent ces spectacles une fois au pouvoir et rendirent odieux aux consciences modernes un phénomène qui s'intégrait naturellement à la société romaine.
Plus de 300 photographies illustrent l'histoire d'un spectacle qui fut unique dans l'histoire.
La mort érigée en spectacle apparaît chez les Etrusques dans les munera offerts en l'honneur de parents défunts. Ensuite, chez les Romains, ces jeux furent offerts par les puissants à leurs concitoyens et devinrent avec le temps de plus en plus grandioses et violents. Leur succès provoqua la construction d'énormes amphithéâtres à travers tout l'Empire. S'y déroulaient non seulement des combats de gladiateurs, mais des chasses aux animaux féroces, reconstituées dans des décors imitant des paysages lointains.
On y appliquait également des peines de mort où les condamnés étaient livrés aux bêtes sauvages. Ces lieux virent aussi se dérouler des naumachies, combats navals dans des bassins aménagés au centre de l'arène. Des hommes et parfois des femmes, engagés volontairement ou contre leur gré, consacraient leur vie à ces grands spectacles qui attirèrent des foules considérables pendant des siècles. Les chrétiens, après en avoir été des victimes, abolirent ces spectacles une fois au pouvoir et rendirent odieux aux consciences modernes un phénomène qui s'intégrait naturellement à la société romaine.
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