D'origine gitane, forain, l'auteur a beaucoup voyagé avec ses parents. Il est désormais sédentaire. Il a appris sa séropositivité à l'âge de trente ans en 1996, là où tout a basculé. Il a dû réapprendre à vivre tant bien que mal et à surmonter ses peurs. Âgé de cinquante ans aujourd'hui, il a eu la force d'écrire ce texte difficile. Il y a pris beaucoup de plaisir et continue à écrire, en espérant pouvoir garder cette voie qui le passionne de plus en plus, et aller à la rencontre de futurs lecteurs dans des salons littéraires, retrouver le goût du voyage qui lui manque.
Gitan sang soucis
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- Nombre de pages132
- PrésentationBroché
- Poids0.1824 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-334-17254-7
- EAN9782334172547
- Date de parution30/06/2016
- CollectionClassique
- ÉditeurEdilivre
Résumé
Jean-Pierre Dubois prend la plume pour raconter ses dix-sept années de combat courageux contre le sida. Cet ancien forain au tempérament de battant fait partie de la communauté des gens du voyage. Il se remémore le temps des roulottes, sa famille, le deuil de plusieurs proches. A trente ans, il décide de changer de vie à l'annonce de sa séropositivité. La métaphore du voyage illustre bien son parcours semé d'embûches.
Contre toute attente, l'épreuve de la maladie provoque une prise de conscience salvatrice, qui lui permet de trouver sa voie. Il quitte sa caravane pour s'installer en ville et laisse derrière lui son passé. Actif au sein de l'association Aides, qui l'a soutenu dès le début de sa maladie, il s'engage dans la prévention pour lutter contre la contamination. Il y rencontre d'autres volontaires séropositifs qui deviendront comme sa seconde famille.
L'expérience de la solidarité et de l'entraide est le moyen de combler sa solitude et d'apaiser ses angoisses. Grâce à son incroyable force de caractère, il garde le moral, malgré son lourd traitement. Son témoignage en forme d'hymne à la vie résonne comme une note d'espoir.
Contre toute attente, l'épreuve de la maladie provoque une prise de conscience salvatrice, qui lui permet de trouver sa voie. Il quitte sa caravane pour s'installer en ville et laisse derrière lui son passé. Actif au sein de l'association Aides, qui l'a soutenu dès le début de sa maladie, il s'engage dans la prévention pour lutter contre la contamination. Il y rencontre d'autres volontaires séropositifs qui deviendront comme sa seconde famille.
L'expérience de la solidarité et de l'entraide est le moyen de combler sa solitude et d'apaiser ses angoisses. Grâce à son incroyable force de caractère, il garde le moral, malgré son lourd traitement. Son témoignage en forme d'hymne à la vie résonne comme une note d'espoir.
Jean-Pierre Dubois prend la plume pour raconter ses dix-sept années de combat courageux contre le sida. Cet ancien forain au tempérament de battant fait partie de la communauté des gens du voyage. Il se remémore le temps des roulottes, sa famille, le deuil de plusieurs proches. A trente ans, il décide de changer de vie à l'annonce de sa séropositivité. La métaphore du voyage illustre bien son parcours semé d'embûches.
Contre toute attente, l'épreuve de la maladie provoque une prise de conscience salvatrice, qui lui permet de trouver sa voie. Il quitte sa caravane pour s'installer en ville et laisse derrière lui son passé. Actif au sein de l'association Aides, qui l'a soutenu dès le début de sa maladie, il s'engage dans la prévention pour lutter contre la contamination. Il y rencontre d'autres volontaires séropositifs qui deviendront comme sa seconde famille.
L'expérience de la solidarité et de l'entraide est le moyen de combler sa solitude et d'apaiser ses angoisses. Grâce à son incroyable force de caractère, il garde le moral, malgré son lourd traitement. Son témoignage en forme d'hymne à la vie résonne comme une note d'espoir.
Contre toute attente, l'épreuve de la maladie provoque une prise de conscience salvatrice, qui lui permet de trouver sa voie. Il quitte sa caravane pour s'installer en ville et laisse derrière lui son passé. Actif au sein de l'association Aides, qui l'a soutenu dès le début de sa maladie, il s'engage dans la prévention pour lutter contre la contamination. Il y rencontre d'autres volontaires séropositifs qui deviendront comme sa seconde famille.
L'expérience de la solidarité et de l'entraide est le moyen de combler sa solitude et d'apaiser ses angoisses. Grâce à son incroyable force de caractère, il garde le moral, malgré son lourd traitement. Son témoignage en forme d'hymne à la vie résonne comme une note d'espoir.