GHB. La drogue du viol
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages239
- PrésentationBroché
- Poids0.34 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-911751-37-0
- EAN9782911751370
- Date de parution23/03/2007
- CollectionThèmes d'aujourd'hui
- ÉditeurAlban Editions
Résumé
Aldo Rocco nous raconte l'histoire d'Ange, un témoignage poignant sur les ravages causés par le GHB. Un vécu romancé, écrit dans le style des thrillers pour laisser le suspense au lecteur de l'histoire bouleversante que le personnage a subie depuis son enfance. Le GHB, ou acide gamma hydro butyrique, est un produit stupéfiant qui, en quantité minutieusement dosée, peut être mêlé à des boissons ou des aliments sans en altérer le goût, et rendre la victime inconsciente pendant quelques heures au terme desquelles elle n'aura plus le moindre souvenir de " l'odyssée " involontaire dans laquelle elle avait sombré. La mémoire n'est pas la seule à se voir épurée mais le corps évacue lui aussi toute trace d'absorption en l'espace de huit heures, faisant de cette drogue une substance "fantôme" à l'origine de troubles hallucinatoires et de souvenirs confus que les victimes infortunées ne peuvent s'expliquer.
Aldo Rocco nous raconte l'histoire d'Ange, un témoignage poignant sur les ravages causés par le GHB. Un vécu romancé, écrit dans le style des thrillers pour laisser le suspense au lecteur de l'histoire bouleversante que le personnage a subie depuis son enfance. Le GHB, ou acide gamma hydro butyrique, est un produit stupéfiant qui, en quantité minutieusement dosée, peut être mêlé à des boissons ou des aliments sans en altérer le goût, et rendre la victime inconsciente pendant quelques heures au terme desquelles elle n'aura plus le moindre souvenir de " l'odyssée " involontaire dans laquelle elle avait sombré. La mémoire n'est pas la seule à se voir épurée mais le corps évacue lui aussi toute trace d'absorption en l'espace de huit heures, faisant de cette drogue une substance "fantôme" à l'origine de troubles hallucinatoires et de souvenirs confus que les victimes infortunées ne peuvent s'expliquer.