Gérard, Girodet, Gros. L'Atelier de David

Par : Arlette Sérullaz

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  • Nombre de pages88
  • PrésentationBroché
  • Poids0.38 kg
  • Dimensions21,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN88-7439-252-4
  • EAN9788874392520
  • Date de parution07/10/2005
  • CollectionCabinet des dessins
  • Éditeur5 Continents

Résumé

Parce qu'il s'appuyait sur l'étude de l'Antiquité " qui n'a pas cessé d'être la grande école des peintres modernes " et sur l'imitation des anciens " dans le génie de leur dessin, l'expression de leurs figures et les grâces de leurs formes ", l'enseignement dispensé par Jacques-Louis David dans son atelier est vite devenu synonyme d'académisme froid et statique. De nos jours, cette opinion perdure, qui dénie à ses élèves, prétendument prisonniers d'un endoctrinement rigide et sclérosé, tout esprit innovant.
Les dessins de Jean-Germain Drouais, de Philippe-Auguste Hennequin, de Jean-Baptiste Wicar ou du Belge François-Joseph Navez, généralement considérés comme les disciples les plus orthodoxes de David, montrent à l'évidence que ces artistes ont su, à travers leur propre vision de l'Antiquité, créer des formes nouvelles. Tout en continuant, eux aussi, à privilégier la ligne qui détermine les contours mais aussi les exalte, François Gérard, Anne-Louis Girodet et Jean Antoine Gros participent d'une aventure qui aboutit à l'éclatement de la conception davidienne et contient bien des signes avant-coureurs des grandes options du XIXe siècle.
Parce qu'il s'appuyait sur l'étude de l'Antiquité " qui n'a pas cessé d'être la grande école des peintres modernes " et sur l'imitation des anciens " dans le génie de leur dessin, l'expression de leurs figures et les grâces de leurs formes ", l'enseignement dispensé par Jacques-Louis David dans son atelier est vite devenu synonyme d'académisme froid et statique. De nos jours, cette opinion perdure, qui dénie à ses élèves, prétendument prisonniers d'un endoctrinement rigide et sclérosé, tout esprit innovant.
Les dessins de Jean-Germain Drouais, de Philippe-Auguste Hennequin, de Jean-Baptiste Wicar ou du Belge François-Joseph Navez, généralement considérés comme les disciples les plus orthodoxes de David, montrent à l'évidence que ces artistes ont su, à travers leur propre vision de l'Antiquité, créer des formes nouvelles. Tout en continuant, eux aussi, à privilégier la ligne qui détermine les contours mais aussi les exalte, François Gérard, Anne-Louis Girodet et Jean Antoine Gros participent d'une aventure qui aboutit à l'éclatement de la conception davidienne et contient bien des signes avant-coureurs des grandes options du XIXe siècle.
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