Georges Valois. L'Action Francaise, Le Faisceau, La Republique Syndicale

Par : Yves Guchet

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  • Nombre de pages325
  • PrésentationBroché
  • Poids0.45 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,3 cm
  • ISBN2-7475-1214-2
  • EAN9782747512145
  • Date de parution23/10/2001
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le destin politique de Georges Valois se mêle à la première moitié du XXe siècle. Après avoir côtoyé les milieux anarchistes, Valois trouve à partir de 1906 son assise politique à l'Action Française, dont les responsables le chargent pendant longtemps de la rubrique économique et financière du quotidien. Mais la guerre devait ébranler bien des certitudes. En novembre 1925, Valois jugeant l'Action Française incapable de provoquer un changement de régime, fonde le Faisceau, qui sans être une simple imitation du Fascio italien, entend poursuivre selon ses propres méthodes un objectif identique : conquérir, ou tout au moins participer au pouvoir, afin de mener une politique nationale. Ce sera un échec. L'efficacité de la politique menée par Poincaré, les difficultés rencontrées dans la recherche d'un financement du mouvement ne l'asservissant pas à l'ambition de certains industriels, l'absence d'homogénéité de son recrutement, le manque de charisme de son chef contribueront à cet échec. Dès lors, Valois s'efforcera de tenir sa place dans le bouillonnement intellectuel des années 30 en dirigeant plusieurs revues : Les cahiers Bleus, Nouvel Age... Arrêté par les Allemands pendant la guerre, il mourra à Bergen Belsen en 1945.
Le destin politique de Georges Valois se mêle à la première moitié du XXe siècle. Après avoir côtoyé les milieux anarchistes, Valois trouve à partir de 1906 son assise politique à l'Action Française, dont les responsables le chargent pendant longtemps de la rubrique économique et financière du quotidien. Mais la guerre devait ébranler bien des certitudes. En novembre 1925, Valois jugeant l'Action Française incapable de provoquer un changement de régime, fonde le Faisceau, qui sans être une simple imitation du Fascio italien, entend poursuivre selon ses propres méthodes un objectif identique : conquérir, ou tout au moins participer au pouvoir, afin de mener une politique nationale. Ce sera un échec. L'efficacité de la politique menée par Poincaré, les difficultés rencontrées dans la recherche d'un financement du mouvement ne l'asservissant pas à l'ambition de certains industriels, l'absence d'homogénéité de son recrutement, le manque de charisme de son chef contribueront à cet échec. Dès lors, Valois s'efforcera de tenir sa place dans le bouillonnement intellectuel des années 30 en dirigeant plusieurs revues : Les cahiers Bleus, Nouvel Age... Arrêté par les Allemands pendant la guerre, il mourra à Bergen Belsen en 1945.
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