Georges Simenon. Parcours d'un écrivain belge

Par : Musée des lettres et manuscrit

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  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • Poids0.755 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-87386-766-9
  • EAN9782873867669
  • Date de parution13/10/2011
  • ÉditeurRacine Lannoo

Résumé

Georges Simenon, parcours d'un écrivain belge offre un regard inédit sur une personnalité complexe et attachante. Ecrivain prolixe, parmi les plus traduits au monde, Georges Simenon est également l'auteur d'une correspondance particulièrement abondante. Depuis le manuscrit rédigé dans la solitude de son bureau jusqu'aux lettres échangées avec ses amis ou ses confrères, ses écrits épistolaires dévoilent une facette intime du personnage.
Au fil des mots, Simenon livre son amour pour sa famille, ses attentions pour sa mère malgré des relations difficiles, sa pudeur face au monde des lettres et même ses manies d'écrivain…: "Hier, vers 3 heures 45, je me suis installé à ce même bureau, le "Do not disturb" aux deux portes, le café est à côté de moi, quatre douzaines de crayons neufs fraîchement taillés, un bloc neuf aussi, du papier jaunâtre et l'enveloppe de papier avec les noms, âges, adresses de mes personnages, une pile d'indicateurs de chemins de fer… Rideaux tirés, machines et pipes nettoyées… Bref, la routine qui a fini par tourner en superstition."
Georges Simenon, parcours d'un écrivain belge offre un regard inédit sur une personnalité complexe et attachante. Ecrivain prolixe, parmi les plus traduits au monde, Georges Simenon est également l'auteur d'une correspondance particulièrement abondante. Depuis le manuscrit rédigé dans la solitude de son bureau jusqu'aux lettres échangées avec ses amis ou ses confrères, ses écrits épistolaires dévoilent une facette intime du personnage.
Au fil des mots, Simenon livre son amour pour sa famille, ses attentions pour sa mère malgré des relations difficiles, sa pudeur face au monde des lettres et même ses manies d'écrivain…: "Hier, vers 3 heures 45, je me suis installé à ce même bureau, le "Do not disturb" aux deux portes, le café est à côté de moi, quatre douzaines de crayons neufs fraîchement taillés, un bloc neuf aussi, du papier jaunâtre et l'enveloppe de papier avec les noms, âges, adresses de mes personnages, une pile d'indicateurs de chemins de fer… Rideaux tirés, machines et pipes nettoyées… Bref, la routine qui a fini par tourner en superstition."