George Sand et Colette. Affinités et passions

Par : Chantal Pommier

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  • Nombre de pages284
  • PrésentationBroché
  • Poids0.498 kg
  • Dimensions16,0 cm × 22,0 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-915497-08-3
  • EAN9782915497083
  • Date de parution01/01/2007
  • CollectionSaga lettres
  • ÉditeurRoyer

Résumé

L'étude des biographies et des correspondances de George Sand et de Colette révèle des similitudes constantes sur les points essentiels de la vie et du caractère de ces romancières, parmi les plus célèbres de notre littérature. Leurs passions ne furent pas qu'amoureuses, leur sensibilité tactile s'affirma au contact de l'eau, de la terre, des pierres, des plantes, des bijoux et des tissus. Leurs relations privilégiées avec la gente animale relevaient d'un indéniable magnétisme.
Excellentes maîtresses de maison, elles ne dédaignèrent ni le plumeau, ni le marteau, ni l'aiguille. Faisant fi de leur sens aigu de l'amitié, nos deux écrivaines n'hésitèrent pas à tremper leur plume dans du fiel... pour assouvir une vengeance. Leur passion commune de l'écriture et de la lecture ne peut seule expliquer ces convergences. Cet inventaire, non exhaustif, de faits avérés, défie l'esprit cartésien, peu enclin à se tourner vers des arguments psychanalytiques, ou subjectifs, pour comprendre l'irrationnel.
L'étude des biographies et des correspondances de George Sand et de Colette révèle des similitudes constantes sur les points essentiels de la vie et du caractère de ces romancières, parmi les plus célèbres de notre littérature. Leurs passions ne furent pas qu'amoureuses, leur sensibilité tactile s'affirma au contact de l'eau, de la terre, des pierres, des plantes, des bijoux et des tissus. Leurs relations privilégiées avec la gente animale relevaient d'un indéniable magnétisme.
Excellentes maîtresses de maison, elles ne dédaignèrent ni le plumeau, ni le marteau, ni l'aiguille. Faisant fi de leur sens aigu de l'amitié, nos deux écrivaines n'hésitèrent pas à tremper leur plume dans du fiel... pour assouvir une vengeance. Leur passion commune de l'écriture et de la lecture ne peut seule expliquer ces convergences. Cet inventaire, non exhaustif, de faits avérés, défie l'esprit cartésien, peu enclin à se tourner vers des arguments psychanalytiques, ou subjectifs, pour comprendre l'irrationnel.