Gens d'Alsace et de Lorraine. L'Ami Fritz, Histoire d'un paysan, Madame Thérèse, Histoire d'un conscrit de 1813, Le Blocus, Waterloo

Par : Erckmann-Chatrian
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages1330
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.705 kg
  • Dimensions13,1 cm × 19,9 cm × 3,3 cm
  • ISBN2-258-03780-8
  • EAN9782258037809
  • Date de parution14/10/1993
  • ÉditeurPresses de la Cité
  • PréfacierJean-Pierre Rioux

Résumé

Il y a l'Alsace au levant, " avec ses longues lignes d'arbres et ses petits villages ", puis la Lorraine au couchant, avec ses étangs, il y a les paysages de l'entre-deux qui donnent aux vies humbles des personnages de cette comédie humaine l'âpreté des vaux assombris et la clarté des ruisseaux à truites. Il y a l'Histoire avec un grand H, celle qui broie et qui progresse, que ces livres pétrissent à pleins bras, aux heures les plus chaudes de la Révolution et de l'Empire. Mieux encore, le lecteur d'aujourd'hui aura au hasard de ces pages une sensation inattendue, un sursaut, un coup d'air frais qui le surprendront souvent - quand Fritzel découvre le soldat mort, quand le sergent Trubert arrache aux Cosaques les douze pipes d'eau-de-vie du père Moïse, quand Michel forge pour Marguerite une humble bêche " qui reluisait comme un plat d'argent et sonnait comme une cloche ". Il se trouvera plongé dans un monde à jamais disparu décrit par deux " cocos bien plébéiens " (Flaubert) qui furent d'exceptionnels conteurs.
Il y a l'Alsace au levant, " avec ses longues lignes d'arbres et ses petits villages ", puis la Lorraine au couchant, avec ses étangs, il y a les paysages de l'entre-deux qui donnent aux vies humbles des personnages de cette comédie humaine l'âpreté des vaux assombris et la clarté des ruisseaux à truites. Il y a l'Histoire avec un grand H, celle qui broie et qui progresse, que ces livres pétrissent à pleins bras, aux heures les plus chaudes de la Révolution et de l'Empire. Mieux encore, le lecteur d'aujourd'hui aura au hasard de ces pages une sensation inattendue, un sursaut, un coup d'air frais qui le surprendront souvent - quand Fritzel découvre le soldat mort, quand le sergent Trubert arrache aux Cosaques les douze pipes d'eau-de-vie du père Moïse, quand Michel forge pour Marguerite une humble bêche " qui reluisait comme un plat d'argent et sonnait comme une cloche ". Il se trouvera plongé dans un monde à jamais disparu décrit par deux " cocos bien plébéiens " (Flaubert) qui furent d'exceptionnels conteurs.