Frères et soeurs dans l'Europe du haut Moyen Age (vers 650-vers 1000)
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- Nombre de pages440
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.74 kg
- Dimensions15,7 cm × 23,4 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-503-60496-1
- EAN9782503604961
- Date de parution01/01/2023
- CollectionHaut Moyen Age
- ÉditeurBrepols
Résumé
Les relations entre frères et soeurs constituent encore un champ mal exploré de l'étude de la famille pour la période allant de 650 à 1000. Pourtant, ce lien est un élément essentiel des sociétés du haut Moyen Age, tant dans les mondes franc et germanique qu'en Angleterre. Dans les discours de l'Eglise, il est même un idéal. En outre, dans le contexte démographique médiéval, la relation adelphique - c'est-à-dire entre frères et soeurs - est souvent la plus pérenne : face à la mort précoce des parents et à un veuvage fréquent, elle accompagne les individus tout au long de leur existence.
Etudier les relations adelphiques est également une manière d'envisager les relations entre hommes et femmes grâce aux dernières avancées de la recherche sur le genre. Pour étudier ces liens spécifiques, il convient de s'intéresser à une large documentation et d'emprunter aux outils de la sociologie et de l'anthropologie. La relation adelphique apparaît alors une donnée importante des sociétés du haut Moyen Age et son étude permet de complexifier l'histoire de la famille sur cette période.
Etudier les relations adelphiques est également une manière d'envisager les relations entre hommes et femmes grâce aux dernières avancées de la recherche sur le genre. Pour étudier ces liens spécifiques, il convient de s'intéresser à une large documentation et d'emprunter aux outils de la sociologie et de l'anthropologie. La relation adelphique apparaît alors une donnée importante des sociétés du haut Moyen Age et son étude permet de complexifier l'histoire de la famille sur cette période.
Les relations entre frères et soeurs constituent encore un champ mal exploré de l'étude de la famille pour la période allant de 650 à 1000. Pourtant, ce lien est un élément essentiel des sociétés du haut Moyen Age, tant dans les mondes franc et germanique qu'en Angleterre. Dans les discours de l'Eglise, il est même un idéal. En outre, dans le contexte démographique médiéval, la relation adelphique - c'est-à-dire entre frères et soeurs - est souvent la plus pérenne : face à la mort précoce des parents et à un veuvage fréquent, elle accompagne les individus tout au long de leur existence.
Etudier les relations adelphiques est également une manière d'envisager les relations entre hommes et femmes grâce aux dernières avancées de la recherche sur le genre. Pour étudier ces liens spécifiques, il convient de s'intéresser à une large documentation et d'emprunter aux outils de la sociologie et de l'anthropologie. La relation adelphique apparaît alors une donnée importante des sociétés du haut Moyen Age et son étude permet de complexifier l'histoire de la famille sur cette période.
Etudier les relations adelphiques est également une manière d'envisager les relations entre hommes et femmes grâce aux dernières avancées de la recherche sur le genre. Pour étudier ces liens spécifiques, il convient de s'intéresser à une large documentation et d'emprunter aux outils de la sociologie et de l'anthropologie. La relation adelphique apparaît alors une donnée importante des sociétés du haut Moyen Age et son étude permet de complexifier l'histoire de la famille sur cette période.