Français, américain, russe ?. Ou l'insolite destinée de Gleb, artiste et homme de guerre

Par : Gleb Plaxine, Michèle Bilimoff
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  • Nombre de pages321
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.485 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,7 cm
  • ISBN978-2-84478-628-9
  • EAN9782844786289
  • Date de parution24/04/2008
  • ÉditeurCheminements/L'A part Editions
  • PréfacierJean Cadet

Résumé

Ayant débuté à 4 ans comme concertiste prodige à Lyon, sa ville natale, et félicité par le maire de l'époque Édouard Herriot, entré à 10 ans au conservatoire de musique de Paris, le destin de Gleb Plaxine semblait tout tracé et heureux dans sa famille de nobles réfugiés russes. Mais dès 1943 - il a 18 ans -, la guerre et l'occupation en décident autrement. Gleb s'engage dans la résistance, puis comme GI dans l'armée américaine jusqu'en 1945. Là, il peut enfin reprendre sa chère musique. Les concerts (et les amours) se succèdent à Paris, en province, en Italie, au Danemark, etc. avec un plein succès. En 1951, il accepte de suivre son père vers la Russie natale. C'est une nouvelle vie, où déconvenues et bonheurs l'attendent. Partis - en Cadillac ! - pour l'URSS, ils mettront des années pour l'atteindre. Autriche, Hongrie, Roumanie, autant d'étapes riches en aventures. En 1955, arrivés en Union Soviétique, les métamorphoses de Gleb vont se multiplier. Interdit de concerts, il parcourt le pays avec une " brigade " d'artistes. Il y rencontre sa femme, Olga. Speaker à Radio-Moscou, il devient en même temps interprète, traducteur, et surtout acteur dans 104 films dont Guerre et Paix.
Ayant débuté à 4 ans comme concertiste prodige à Lyon, sa ville natale, et félicité par le maire de l'époque Édouard Herriot, entré à 10 ans au conservatoire de musique de Paris, le destin de Gleb Plaxine semblait tout tracé et heureux dans sa famille de nobles réfugiés russes. Mais dès 1943 - il a 18 ans -, la guerre et l'occupation en décident autrement. Gleb s'engage dans la résistance, puis comme GI dans l'armée américaine jusqu'en 1945. Là, il peut enfin reprendre sa chère musique. Les concerts (et les amours) se succèdent à Paris, en province, en Italie, au Danemark, etc. avec un plein succès. En 1951, il accepte de suivre son père vers la Russie natale. C'est une nouvelle vie, où déconvenues et bonheurs l'attendent. Partis - en Cadillac ! - pour l'URSS, ils mettront des années pour l'atteindre. Autriche, Hongrie, Roumanie, autant d'étapes riches en aventures. En 1955, arrivés en Union Soviétique, les métamorphoses de Gleb vont se multiplier. Interdit de concerts, il parcourt le pays avec une " brigade " d'artistes. Il y rencontre sa femme, Olga. Speaker à Radio-Moscou, il devient en même temps interprète, traducteur, et surtout acteur dans 104 films dont Guerre et Paix.