Fleurs de vacuité. L'étude comme pratique dans le bouddhisme Chan
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.33 kg
- Dimensions14,4 cm × 22,4 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-35118-613-8
- EAN9782351186138
- Date de parution08/06/2023
- ÉditeurAlmora
Résumé
Le bouddhisme chan : un exposé de la doctrine Le bouddhisme chan est une version du bouddhisme qui, après être arrivée d'Inde, a pris racine en Chine et s'est développée jusqu'au xe siècle environ. Influencé par le taoïsme indigène, ce bouddhisme a été particulièrement original et a donné naissance à de grands maîtres comme Lin-Tsi, Huineng, ou Houang-po. Cependant, cette école a trop souvent été réduite à une approche dite " abrupte, directe, iconoclaste ", ce qui a conduit à sous-estimer l'importance de l'étude dans cette voie spirituelle.
Derrière le préjugé selon lequel le Chan se situerait en dehors des écritures et relèverait de l'approche abrupte et non progressive, se cache dans les faits une tout autre réalité. L'auteur va s'employer ici à montrer que sous l'apparent mépris des textes et des lettres, les maîtres du Chan (et en particulier Lin-Tsi) accordent une grande importance à la réflexion. Le disciple chemine sur deux jambes, celle de droite, certes prépondérante, correspondant à la pratique (praxis), celle de gauche à l'étude (gnosis) pour résoudre la dualité inhérente à toute réalité, à tout dharma.
Fort de sa grande familiarité avec les textes bouddhistes et taoïstes, Yen Chan nous révèle ici la richesse de cette immense tradition d'éveil.
Derrière le préjugé selon lequel le Chan se situerait en dehors des écritures et relèverait de l'approche abrupte et non progressive, se cache dans les faits une tout autre réalité. L'auteur va s'employer ici à montrer que sous l'apparent mépris des textes et des lettres, les maîtres du Chan (et en particulier Lin-Tsi) accordent une grande importance à la réflexion. Le disciple chemine sur deux jambes, celle de droite, certes prépondérante, correspondant à la pratique (praxis), celle de gauche à l'étude (gnosis) pour résoudre la dualité inhérente à toute réalité, à tout dharma.
Fort de sa grande familiarité avec les textes bouddhistes et taoïstes, Yen Chan nous révèle ici la richesse de cette immense tradition d'éveil.
Le bouddhisme chan : un exposé de la doctrine Le bouddhisme chan est une version du bouddhisme qui, après être arrivée d'Inde, a pris racine en Chine et s'est développée jusqu'au xe siècle environ. Influencé par le taoïsme indigène, ce bouddhisme a été particulièrement original et a donné naissance à de grands maîtres comme Lin-Tsi, Huineng, ou Houang-po. Cependant, cette école a trop souvent été réduite à une approche dite " abrupte, directe, iconoclaste ", ce qui a conduit à sous-estimer l'importance de l'étude dans cette voie spirituelle.
Derrière le préjugé selon lequel le Chan se situerait en dehors des écritures et relèverait de l'approche abrupte et non progressive, se cache dans les faits une tout autre réalité. L'auteur va s'employer ici à montrer que sous l'apparent mépris des textes et des lettres, les maîtres du Chan (et en particulier Lin-Tsi) accordent une grande importance à la réflexion. Le disciple chemine sur deux jambes, celle de droite, certes prépondérante, correspondant à la pratique (praxis), celle de gauche à l'étude (gnosis) pour résoudre la dualité inhérente à toute réalité, à tout dharma.
Fort de sa grande familiarité avec les textes bouddhistes et taoïstes, Yen Chan nous révèle ici la richesse de cette immense tradition d'éveil.
Derrière le préjugé selon lequel le Chan se situerait en dehors des écritures et relèverait de l'approche abrupte et non progressive, se cache dans les faits une tout autre réalité. L'auteur va s'employer ici à montrer que sous l'apparent mépris des textes et des lettres, les maîtres du Chan (et en particulier Lin-Tsi) accordent une grande importance à la réflexion. Le disciple chemine sur deux jambes, celle de droite, certes prépondérante, correspondant à la pratique (praxis), celle de gauche à l'étude (gnosis) pour résoudre la dualité inhérente à toute réalité, à tout dharma.
Fort de sa grande familiarité avec les textes bouddhistes et taoïstes, Yen Chan nous révèle ici la richesse de cette immense tradition d'éveil.