Ferdinand du Puigaudeau. Capturer la lumière

Par : Jean-Marc Pinet
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  • Nombre de pages48
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions16,0 cm × 23,9 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-36833-565-9
  • EAN9782368335659
  • Date de parution30/05/2025
  • ÉditeurLocus Solus

Résumé

Né à Nantes en 1864 et mort au Croisic en 1930, Ferdinand Loyen du Puigaudeau est un peintre postimpressionniste de renom, dont les tableaux figurent dans les plus grands musées, en France et à l'étranger. Ce livre contribue à le faire connaître en reproduisant une quarantaine d'oeuvres emblématiques et séduisantes, issues de collections privées et publiques. Proche de ce qui deviendra bientôt l'école de Pont-Aven, il fréquente dès 1886 la Pension Gloanec avec Paul Gauguin, Emile Bernard.
Il voyagera beaucoup en Italie, notamment à Venise. Il affectionne les scènes nocturnes et les atmosphères crépusculaires, celles des fêtes populaires, et en particulier des fêtes de nuit. C'est le "peintre de feux d'artifice, fusées, soleil et gais paysages" , écrit le New York Herald en 1903. En 1907, il s'installe dans la campagne du port du Croisic, au manoir de Kervaudu, où en dépit de moyens précaires, il réunit ses amis les artistes Jean Emile Laboureur, Emile Dezaunay, Ernest de Chamaillard, le poète José-Maria de Heredia...
Il n'aura de cesse de peindre son jardin, la Brière, les marais salants de la presqu'île de Guérande... Il est aussi le père de l'ethnologue Odette du Puigaudeau (1894-1991), spécialiste des cultures traditionnelles du Sahara (Mauritanie et Maroc). Cf. La biographie "Odette du Puigaudeau et la Bretagne" , de Monique Vérité, parue chez Locus Solus en 2023
Né à Nantes en 1864 et mort au Croisic en 1930, Ferdinand Loyen du Puigaudeau est un peintre postimpressionniste de renom, dont les tableaux figurent dans les plus grands musées, en France et à l'étranger. Ce livre contribue à le faire connaître en reproduisant une quarantaine d'oeuvres emblématiques et séduisantes, issues de collections privées et publiques. Proche de ce qui deviendra bientôt l'école de Pont-Aven, il fréquente dès 1886 la Pension Gloanec avec Paul Gauguin, Emile Bernard.
Il voyagera beaucoup en Italie, notamment à Venise. Il affectionne les scènes nocturnes et les atmosphères crépusculaires, celles des fêtes populaires, et en particulier des fêtes de nuit. C'est le "peintre de feux d'artifice, fusées, soleil et gais paysages" , écrit le New York Herald en 1903. En 1907, il s'installe dans la campagne du port du Croisic, au manoir de Kervaudu, où en dépit de moyens précaires, il réunit ses amis les artistes Jean Emile Laboureur, Emile Dezaunay, Ernest de Chamaillard, le poète José-Maria de Heredia...
Il n'aura de cesse de peindre son jardin, la Brière, les marais salants de la presqu'île de Guérande... Il est aussi le père de l'ethnologue Odette du Puigaudeau (1894-1991), spécialiste des cultures traditionnelles du Sahara (Mauritanie et Maroc). Cf. La biographie "Odette du Puigaudeau et la Bretagne" , de Monique Vérité, parue chez Locus Solus en 2023