Les femmes d'Athènes. L'Antiquité grecque était-elle misogyne ?
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.182 kg
- Dimensions11,5 cm × 17,4 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-13-088744-7
- EAN9782130887447
- Date de parution19/03/2025
- ÉditeurPUF
Résumé
Qui n'a pas déjà son idée toute faite sur la situation des femmes de l'Antiquité grecque ? Les Athéniens seraient forcément misogynes puisqu'ils sont réputés exclure les femmes de leur cité. Ils les relègueraient dans l'espace privé de la maison, contrôleraient sévèrement leurs pratiques sexuelles et pratiqueraient même un infanticide sélectif à la naissance, tuant ou abandonnant les nouveau-nés féminins pour éviter d'avoir à élever des petites filles qui, grandissant, rejoindraient une autre maison, en emmenant une part de la richesse familiale.
Ce livre interroge cette affirmation, car la recherche récente, tant en sciences sociales qu'en sciences de l'Antiquité, permet de réévaluer l'attitude des sociétés antiques envers les femmes et, plus généralement, les rapports que les femmes et les hommes entretenaient dans les cités grecques, tout particulièrement à Athènes.
Ce livre interroge cette affirmation, car la recherche récente, tant en sciences sociales qu'en sciences de l'Antiquité, permet de réévaluer l'attitude des sociétés antiques envers les femmes et, plus généralement, les rapports que les femmes et les hommes entretenaient dans les cités grecques, tout particulièrement à Athènes.
Qui n'a pas déjà son idée toute faite sur la situation des femmes de l'Antiquité grecque ? Les Athéniens seraient forcément misogynes puisqu'ils sont réputés exclure les femmes de leur cité. Ils les relègueraient dans l'espace privé de la maison, contrôleraient sévèrement leurs pratiques sexuelles et pratiqueraient même un infanticide sélectif à la naissance, tuant ou abandonnant les nouveau-nés féminins pour éviter d'avoir à élever des petites filles qui, grandissant, rejoindraient une autre maison, en emmenant une part de la richesse familiale.
Ce livre interroge cette affirmation, car la recherche récente, tant en sciences sociales qu'en sciences de l'Antiquité, permet de réévaluer l'attitude des sociétés antiques envers les femmes et, plus généralement, les rapports que les femmes et les hommes entretenaient dans les cités grecques, tout particulièrement à Athènes.
Ce livre interroge cette affirmation, car la recherche récente, tant en sciences sociales qu'en sciences de l'Antiquité, permet de réévaluer l'attitude des sociétés antiques envers les femmes et, plus généralement, les rapports que les femmes et les hommes entretenaient dans les cités grecques, tout particulièrement à Athènes.