Exégèse d'oralité. Tome 1

Par : Frédéric Guigain
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  • Nombre de pages234
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.606 kg
  • Dimensions21,4 cm × 25,5 cm × 0,1 cm
  • ISBN978-2-87601-353-7
  • EAN9782876013537
  • Date de parution01/09/2012
  • ÉditeurCariscript

Résumé

Ce premier cahier d’études se propose-t-il de présenter un tour d’horizon suffisamment large des diverses problématiques liées à cette redécouverte de l’oralité à l’âge apostolique : sont abordés les aspects spirituels d’une véritable “théologie de la mémorisation” caractéristique de l’époque, la genèse structurée de la Bonne Nouvelle dans le cadre hiérarchique de l’ “école traditionnelle”, et les principes techniques d’un décompte systématique de la Parole de Dieu.
Rien de ceci ne saurait être possible sans revenir à la pâte linguistique concrète du Seigneur et des Apôtres, c’est-à-dire à l’araméen, transmis par une pratique orale ininterrompue et dont le texte chaldéen de la Peshitta constitue le vestige archéologique incontournable. C’est ainsi qu’est rendue à sa beauté première la Bonne Nouvelle du Verbe incarné, dont la qualité littéraire est seule à rendre compte de l’ensemble des procédés phonétiques, scéniques et midrashiques, qui font regorger la Parole de sens et lui assurent son inlassable et savoureuse manducation.
La recherche scientifique est alors l’occasion d’un pèlerinage initiatique sur de grands thèmes de l’Évangile, entièrement revisités, tels que l’Enfance, la Transfiguration, la Miséricorde et la Résurrection.
Ce premier cahier d’études se propose-t-il de présenter un tour d’horizon suffisamment large des diverses problématiques liées à cette redécouverte de l’oralité à l’âge apostolique : sont abordés les aspects spirituels d’une véritable “théologie de la mémorisation” caractéristique de l’époque, la genèse structurée de la Bonne Nouvelle dans le cadre hiérarchique de l’ “école traditionnelle”, et les principes techniques d’un décompte systématique de la Parole de Dieu.
Rien de ceci ne saurait être possible sans revenir à la pâte linguistique concrète du Seigneur et des Apôtres, c’est-à-dire à l’araméen, transmis par une pratique orale ininterrompue et dont le texte chaldéen de la Peshitta constitue le vestige archéologique incontournable. C’est ainsi qu’est rendue à sa beauté première la Bonne Nouvelle du Verbe incarné, dont la qualité littéraire est seule à rendre compte de l’ensemble des procédés phonétiques, scéniques et midrashiques, qui font regorger la Parole de sens et lui assurent son inlassable et savoureuse manducation.
La recherche scientifique est alors l’occasion d’un pèlerinage initiatique sur de grands thèmes de l’Évangile, entièrement revisités, tels que l’Enfance, la Transfiguration, la Miséricorde et la Résurrection.