Etre architecte : Les vertus de l'indétermination. Une sociologie du travail professionnel
2e édition
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- Nombre de pages383
- PrésentationBroché
- Poids0.5 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-84287-592-3
- EAN9782842875923
- Date de parution01/10/2013
- ÉditeurPULIM
- PréfacierYvon Lamy
Résumé
La sociologie des professions et du travail des architectes pointe généralement la faiblesse de la cohésion professionnelle de ce groupe et ses difficultés à faire valoir une "compétence" spécifique lui permettant de maintenir et d'imposer clairement sa position dans la division sociale de l'acte de construire. Pourtant les architectes maintiennent leur place dans ce champ. Ils auraient même plutôt tendance à y développer une "multipositionnalité".
Ce livre propose donc d'abandonner la volonté de caractériser la "compétence" ou "l'identité professionnelle" des architectes, pour comprendre comment ils parviennent à maintenir leur présence dans l'univers de la construction. Comment le titre d'architecte et les conceptions qui lui sont associées fonctionnent comme un capital mobilisable par ces derniers pour poursuivre leur existence et se maintenir comme "professionnels".
L'hypothèse centrale de l'ouvrage est que, loin d'une "déprofessionnalisation" ou d'une " mutation d'identité ", les architectes font montre d'une grande faculté d'adaptation liée au capital symbolique attaché à leur titre. Cette mobilisation du groupe professionnel pour maintenir et faire valoir sa place est décrite sous le terme de "travail professionnel" entendu comme un regard sur les pratiques renvoyant à deux dimensions : à la fois travail de production du bâti architectural et travail de production d'une identité professionnelle, celle d'architecte.
Ce livre propose donc d'abandonner la volonté de caractériser la "compétence" ou "l'identité professionnelle" des architectes, pour comprendre comment ils parviennent à maintenir leur présence dans l'univers de la construction. Comment le titre d'architecte et les conceptions qui lui sont associées fonctionnent comme un capital mobilisable par ces derniers pour poursuivre leur existence et se maintenir comme "professionnels".
L'hypothèse centrale de l'ouvrage est que, loin d'une "déprofessionnalisation" ou d'une " mutation d'identité ", les architectes font montre d'une grande faculté d'adaptation liée au capital symbolique attaché à leur titre. Cette mobilisation du groupe professionnel pour maintenir et faire valoir sa place est décrite sous le terme de "travail professionnel" entendu comme un regard sur les pratiques renvoyant à deux dimensions : à la fois travail de production du bâti architectural et travail de production d'une identité professionnelle, celle d'architecte.
La sociologie des professions et du travail des architectes pointe généralement la faiblesse de la cohésion professionnelle de ce groupe et ses difficultés à faire valoir une "compétence" spécifique lui permettant de maintenir et d'imposer clairement sa position dans la division sociale de l'acte de construire. Pourtant les architectes maintiennent leur place dans ce champ. Ils auraient même plutôt tendance à y développer une "multipositionnalité".
Ce livre propose donc d'abandonner la volonté de caractériser la "compétence" ou "l'identité professionnelle" des architectes, pour comprendre comment ils parviennent à maintenir leur présence dans l'univers de la construction. Comment le titre d'architecte et les conceptions qui lui sont associées fonctionnent comme un capital mobilisable par ces derniers pour poursuivre leur existence et se maintenir comme "professionnels".
L'hypothèse centrale de l'ouvrage est que, loin d'une "déprofessionnalisation" ou d'une " mutation d'identité ", les architectes font montre d'une grande faculté d'adaptation liée au capital symbolique attaché à leur titre. Cette mobilisation du groupe professionnel pour maintenir et faire valoir sa place est décrite sous le terme de "travail professionnel" entendu comme un regard sur les pratiques renvoyant à deux dimensions : à la fois travail de production du bâti architectural et travail de production d'une identité professionnelle, celle d'architecte.
Ce livre propose donc d'abandonner la volonté de caractériser la "compétence" ou "l'identité professionnelle" des architectes, pour comprendre comment ils parviennent à maintenir leur présence dans l'univers de la construction. Comment le titre d'architecte et les conceptions qui lui sont associées fonctionnent comme un capital mobilisable par ces derniers pour poursuivre leur existence et se maintenir comme "professionnels".
L'hypothèse centrale de l'ouvrage est que, loin d'une "déprofessionnalisation" ou d'une " mutation d'identité ", les architectes font montre d'une grande faculté d'adaptation liée au capital symbolique attaché à leur titre. Cette mobilisation du groupe professionnel pour maintenir et faire valoir sa place est décrite sous le terme de "travail professionnel" entendu comme un regard sur les pratiques renvoyant à deux dimensions : à la fois travail de production du bâti architectural et travail de production d'une identité professionnelle, celle d'architecte.