Dans ses Essais, dont la plupart sont réédités ici pour la première fois, le grand écrivain vendéen médite sur la "modernité" : ses fruits sans saveur, ses chômeurs sans espoir, ses citadins esseulés, aspirés à toute vitesse par un futur sans avenir. "Nous avons perdu la notion de lieu diagnostique-t-il, et cette perte est à la base de notre désarroi moral. "Pour illustrer son oeuvre, l'écrivain avait parfois fait appel au talent de Jean Roubier, le grand photographe : d'où une extraordinaire galerie de portraits et de paysages de la Vendée des années trente, souvent inédits.
Dans ses Essais, dont la plupart sont réédités ici pour la première fois, le grand écrivain vendéen médite sur la "modernité" : ses fruits sans saveur, ses chômeurs sans espoir, ses citadins esseulés, aspirés à toute vitesse par un futur sans avenir. "Nous avons perdu la notion de lieu diagnostique-t-il, et cette perte est à la base de notre désarroi moral. "Pour illustrer son oeuvre, l'écrivain avait parfois fait appel au talent de Jean Roubier, le grand photographe : d'où une extraordinaire galerie de portraits et de paysages de la Vendée des années trente, souvent inédits.