Essai sur la modernité. Origine, décadences, avenir
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- Nombre de pages62
- PrésentationBroché
- Poids0.0963 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,3 cm
- ISBN978-2-414-02720-0
- EAN9782414027200
- Date de parution22/09/2017
- CollectionClassique
- ÉditeurEdilivre
Résumé
L'homme façonne le monde qu'il se représente en pensées. Peut-être est-ce donc en celles-ci que se loge l'origine des convulsions modernes. La conception d'une humanité assise sur les piliers de l'individualisme et de la raison matérielle néglige toute une dimension existentielle et réflexive de l'être. Au niveau agrégé, les sociétés occidentales génèrent des déséquilibres sans précédent et peinent à se projeter.
De ce double constat, portant sur les fondements idéologiques de la modernité occidentale et sur une prolifération manifeste des crises, émerge le questionnement qui suit : et si le déséquilibre premier, qui se placerait à la racine de tous les autres, était en l'homme, c'est-à-dire inscrit consciemment ou non dans nos diverses relations au monde ?
De ce double constat, portant sur les fondements idéologiques de la modernité occidentale et sur une prolifération manifeste des crises, émerge le questionnement qui suit : et si le déséquilibre premier, qui se placerait à la racine de tous les autres, était en l'homme, c'est-à-dire inscrit consciemment ou non dans nos diverses relations au monde ?
L'homme façonne le monde qu'il se représente en pensées. Peut-être est-ce donc en celles-ci que se loge l'origine des convulsions modernes. La conception d'une humanité assise sur les piliers de l'individualisme et de la raison matérielle néglige toute une dimension existentielle et réflexive de l'être. Au niveau agrégé, les sociétés occidentales génèrent des déséquilibres sans précédent et peinent à se projeter.
De ce double constat, portant sur les fondements idéologiques de la modernité occidentale et sur une prolifération manifeste des crises, émerge le questionnement qui suit : et si le déséquilibre premier, qui se placerait à la racine de tous les autres, était en l'homme, c'est-à-dire inscrit consciemment ou non dans nos diverses relations au monde ?
De ce double constat, portant sur les fondements idéologiques de la modernité occidentale et sur une prolifération manifeste des crises, émerge le questionnement qui suit : et si le déséquilibre premier, qui se placerait à la racine de tous les autres, était en l'homme, c'est-à-dire inscrit consciemment ou non dans nos diverses relations au monde ?