Espagne : les années Aznar
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- Nombre de pages173
- PrésentationBroché
- Poids0.29 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN3303331951926
- EAN3303331951926
- Date de parution28/09/2004
- CollectionLes études de la documentation
- ÉditeurDocumentation Française (La)
Résumé
1996-2004 : pendant ces huit années, José Maria Aznar, deux fois victorieux aux élections législatives, a occupé les fonctions de chef du Gouvernement.
En 1996, il succède à Felipe González qui avait incarné le pouvoir socialiste pendant plus de treize ans. Tout semble opposer les deux hommes, tant sur le plan de la personnalité que sur celui des idées. Néanmoins, les années Aznar s'inscrivent dans une continuité : celle de la poursuite et de l'approfondissement du processus de modernisation de l'Espagne engagé depuis près de trente ans. Mais Aznar n'est pas qu'un simple continuateur. Si, comme ses prédécesseurs, il doit faire face aux problèmes récurrents posés par les spécificités institutionnelles de l'" Etat des autonomies " ou par le terrorisme basque, il est aussi tributaire d'un nouveau contexte international. Les choix qu'il effectue, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, portent profondément sa marque et vont infléchir sensiblement certains des traits qui caractérisaient l'Espagne depuis son retour, en 1976, à la démocratie. Malgré les nombreuses critiques sur sa façon de gouverner ou son engagement inconditionnel aux côtés des Etats-Unis dans le conflit irakien, il ne faisait guère de doute que son parti, le Partido popular, sortirait vainqueur des élections du 14 mars 2004 qui signifiaient aussi pour lui, comme il l'avait annoncé, la fin volontaire et glorieuse de sa carrière politique. Les dramatiques attentats de Madrid du 11 mars, trois jours avant le scrutin, en ont décidé autrement. Que restera-t-il des années Aznar ? Cet ouvrage tente d'y répondre.
En 1996, il succède à Felipe González qui avait incarné le pouvoir socialiste pendant plus de treize ans. Tout semble opposer les deux hommes, tant sur le plan de la personnalité que sur celui des idées. Néanmoins, les années Aznar s'inscrivent dans une continuité : celle de la poursuite et de l'approfondissement du processus de modernisation de l'Espagne engagé depuis près de trente ans. Mais Aznar n'est pas qu'un simple continuateur. Si, comme ses prédécesseurs, il doit faire face aux problèmes récurrents posés par les spécificités institutionnelles de l'" Etat des autonomies " ou par le terrorisme basque, il est aussi tributaire d'un nouveau contexte international. Les choix qu'il effectue, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, portent profondément sa marque et vont infléchir sensiblement certains des traits qui caractérisaient l'Espagne depuis son retour, en 1976, à la démocratie. Malgré les nombreuses critiques sur sa façon de gouverner ou son engagement inconditionnel aux côtés des Etats-Unis dans le conflit irakien, il ne faisait guère de doute que son parti, le Partido popular, sortirait vainqueur des élections du 14 mars 2004 qui signifiaient aussi pour lui, comme il l'avait annoncé, la fin volontaire et glorieuse de sa carrière politique. Les dramatiques attentats de Madrid du 11 mars, trois jours avant le scrutin, en ont décidé autrement. Que restera-t-il des années Aznar ? Cet ouvrage tente d'y répondre.
1996-2004 : pendant ces huit années, José Maria Aznar, deux fois victorieux aux élections législatives, a occupé les fonctions de chef du Gouvernement.
En 1996, il succède à Felipe González qui avait incarné le pouvoir socialiste pendant plus de treize ans. Tout semble opposer les deux hommes, tant sur le plan de la personnalité que sur celui des idées. Néanmoins, les années Aznar s'inscrivent dans une continuité : celle de la poursuite et de l'approfondissement du processus de modernisation de l'Espagne engagé depuis près de trente ans. Mais Aznar n'est pas qu'un simple continuateur. Si, comme ses prédécesseurs, il doit faire face aux problèmes récurrents posés par les spécificités institutionnelles de l'" Etat des autonomies " ou par le terrorisme basque, il est aussi tributaire d'un nouveau contexte international. Les choix qu'il effectue, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, portent profondément sa marque et vont infléchir sensiblement certains des traits qui caractérisaient l'Espagne depuis son retour, en 1976, à la démocratie. Malgré les nombreuses critiques sur sa façon de gouverner ou son engagement inconditionnel aux côtés des Etats-Unis dans le conflit irakien, il ne faisait guère de doute que son parti, le Partido popular, sortirait vainqueur des élections du 14 mars 2004 qui signifiaient aussi pour lui, comme il l'avait annoncé, la fin volontaire et glorieuse de sa carrière politique. Les dramatiques attentats de Madrid du 11 mars, trois jours avant le scrutin, en ont décidé autrement. Que restera-t-il des années Aznar ? Cet ouvrage tente d'y répondre.
En 1996, il succède à Felipe González qui avait incarné le pouvoir socialiste pendant plus de treize ans. Tout semble opposer les deux hommes, tant sur le plan de la personnalité que sur celui des idées. Néanmoins, les années Aznar s'inscrivent dans une continuité : celle de la poursuite et de l'approfondissement du processus de modernisation de l'Espagne engagé depuis près de trente ans. Mais Aznar n'est pas qu'un simple continuateur. Si, comme ses prédécesseurs, il doit faire face aux problèmes récurrents posés par les spécificités institutionnelles de l'" Etat des autonomies " ou par le terrorisme basque, il est aussi tributaire d'un nouveau contexte international. Les choix qu'il effectue, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, portent profondément sa marque et vont infléchir sensiblement certains des traits qui caractérisaient l'Espagne depuis son retour, en 1976, à la démocratie. Malgré les nombreuses critiques sur sa façon de gouverner ou son engagement inconditionnel aux côtés des Etats-Unis dans le conflit irakien, il ne faisait guère de doute que son parti, le Partido popular, sortirait vainqueur des élections du 14 mars 2004 qui signifiaient aussi pour lui, comme il l'avait annoncé, la fin volontaire et glorieuse de sa carrière politique. Les dramatiques attentats de Madrid du 11 mars, trois jours avant le scrutin, en ont décidé autrement. Que restera-t-il des années Aznar ? Cet ouvrage tente d'y répondre.