Au premier abord, j'ai pensé « Cliché du prince à la recherche de sa dame dans un bal masqué » puis surprise lecteur : une mondaine saoule le plongeant dans une ambiance digne d’une saison des Bridgerton ! Mêlant commérages, jalousie et réputations détruites, l’auteure nous transporte dans le grand monde. Cassant les codes de la haute société, cette jeune femme pour seul souhait de s'émanciper se permet d'inviter à danser un homme, de rentrer dans un cercle littéraire d’homme, de boire de l’alcool avec un homme et magouiller dans des affaires d’hommes…. En effet, la mise en lumière de ces dernières auprès des hommes que ce soit culturellement ou intellectuellement parlant met, avec perfection et humour, en lumière le peu de considération qu'on leur donne. Ainsi, au-delà d’une robe, d’une pension et de bonne manière, c'est de la puissance, de la persévérance des femmes à s'émanciper que le lecteur découvre avec admiration et ferveur.
Concernant la plume d'Angèle Sogno, elle est d'une fluidité fulgurante accompagnée d'un vocabulaire parfaitement adapté à l’époque, au ton du roman. Le rythme est excellent, oscillant entre mondaines déboussolées et jalousie maladive, l'auteure mettra son lecteur en réflexion constante sur la place de la femme dans la société. Puis, le point fort de ce roman est que nous avons cette dimension traditionnelle revenant plusieurs fois à travers la mère de cette jeune femme. De ce fait, le lecteur se sent presque rebelle de l'encourager à franchir les barrières et à casser les codes ! Pour finir, la fin ne m'a pas surprise, je l'ai trouvé parfaite. À aucun moment le romança lâchée son lecteur, jusqu'aux derniers mots.
Au premier abord, j'ai pensé « Cliché du prince à la recherche de sa dame dans un bal masqué » puis surprise lecteur : une mondaine saoule le plongeant dans une ambiance digne d’une saison des Bridgerton ! Mêlant commérages, jalousie et réputations détruites, l’auteure nous transporte dans le grand monde. Cassant les codes de la haute société, cette jeune femme pour seul souhait de s'émanciper se permet d'inviter à danser un homme, de rentrer dans un cercle littéraire d’homme, de boire de l’alcool avec un homme et magouiller dans des affaires d’hommes…. En effet, la mise en lumière de ces dernières auprès des hommes que ce soit culturellement ou intellectuellement parlant met, avec perfection et humour, en lumière le peu de considération qu'on leur donne. Ainsi, au-delà d’une robe, d’une pension et de bonne manière, c'est de la puissance, de la persévérance des femmes à s'émanciper que le lecteur découvre avec admiration et ferveur.
Concernant la plume d'Angèle Sogno, elle est d'une fluidité fulgurante accompagnée d'un vocabulaire parfaitement adapté à l’époque, au ton du roman. Le rythme est excellent, oscillant entre mondaines déboussolées et jalousie maladive, l'auteure mettra son lecteur en réflexion constante sur la place de la femme dans la société. Puis, le point fort de ce roman est que nous avons cette dimension traditionnelle revenant plusieurs fois à travers la mère de cette jeune femme. De ce fait, le lecteur se sent presque rebelle de l'encourager à franchir les barrières et à casser les codes ! Pour finir, la fin ne m'a pas surprise, je l'ai trouvé parfaite. À aucun moment le romança lâchée son lecteur, jusqu'aux derniers mots.