Entendre Les Mots Qui Disent Les Maux. Les Sources Oubliees De Notre Langage
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- Nombre de pages290
- PrésentationBroché
- Poids0.475 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-7163-1168-4
- EAN9782716311687
- Date de parution23/09/2000
- ÉditeurDauphin (Editions du)
Résumé
On entre dans cet ouvrage comme en soi-même. Il vous est offert dans ce but : apprendre à mieux entendre les mots des maux ; les vôtres, ceux de vos proches ; ceux d'autrui quel qu'il soit. Cette fouille quasi-archéologique, véritable descente au centre de l'intime (si tant est qu'il y ait un centre !) mais aussi du fondamentalement collectif s'appuie sur 25 années à rencontrer la souffrance humaine - du banal, de l'essentiel. C'est justement à partir des onomatopées de la douleur on assiste, mots à mots, à la découverte d'un langage archaïque oublié. Dans ces cris et ces crac, on se retrouve à l'écoute des sources de notre langage originel, singulier, commun, entre raison, raisons et bruits du monde, sous l'orchestration des émotions. En fait, nos mots sont construits d'unités sonores déjà sensées, mais non conscientes, formant un code assimilable à un langage originel. On peut alors tenter de décrypter comme des hiéroglyphes nos mots conventionnels, et jusqu'au sens caché des noms et prénoms, des contes, mythes et légendes. Ce code éclaire nos sources vives d'un jour nouveau et nous permet d'accéder au sens profond des maux du corps. Nos maladies ne sont plus insensées et nous pouvons désormais les entendre et nous entendre. Pour cela, il faut apprendre à davantage prêter l'oreille aux sons des mots exprimés par l'homme qui se dit malade, car ils révèlent le sens de ses maux. Ces maux exhibent sur l'écran du corps les conflits de mots entre le programme du " moi" qui s'exprime et celui du "surmoi" qui réprime. Cette inhibition se réalise via la crainte et se dit, par exemple, dans des sons tels que le GR du tonnerre qui gronde, PAR, arme de la menace, ou le CR, signe de mort. En tant que lecteur, on s'étonne, on doute, on s'interroge, on cherche à vérifier ; et puis doucement ou brusquement, on se ressouvient et on finit par se rendre à l'évidence : ce code est cohérent, présent, vivant - mais enfoui. Il nous apporte des révélations sur les sources de notre langage et sur nous-même. On sort du livre ébranlé, bouleversé, passionné ; et cela, que l'on soit simple (!) amoureux des mots, curieux des origines de notre langage, ou qu'on s'intéresse au langage comme psychanalyste, psychologue, médecin, éducateur, enseignant, etc.
On entre dans cet ouvrage comme en soi-même. Il vous est offert dans ce but : apprendre à mieux entendre les mots des maux ; les vôtres, ceux de vos proches ; ceux d'autrui quel qu'il soit. Cette fouille quasi-archéologique, véritable descente au centre de l'intime (si tant est qu'il y ait un centre !) mais aussi du fondamentalement collectif s'appuie sur 25 années à rencontrer la souffrance humaine - du banal, de l'essentiel. C'est justement à partir des onomatopées de la douleur on assiste, mots à mots, à la découverte d'un langage archaïque oublié. Dans ces cris et ces crac, on se retrouve à l'écoute des sources de notre langage originel, singulier, commun, entre raison, raisons et bruits du monde, sous l'orchestration des émotions. En fait, nos mots sont construits d'unités sonores déjà sensées, mais non conscientes, formant un code assimilable à un langage originel. On peut alors tenter de décrypter comme des hiéroglyphes nos mots conventionnels, et jusqu'au sens caché des noms et prénoms, des contes, mythes et légendes. Ce code éclaire nos sources vives d'un jour nouveau et nous permet d'accéder au sens profond des maux du corps. Nos maladies ne sont plus insensées et nous pouvons désormais les entendre et nous entendre. Pour cela, il faut apprendre à davantage prêter l'oreille aux sons des mots exprimés par l'homme qui se dit malade, car ils révèlent le sens de ses maux. Ces maux exhibent sur l'écran du corps les conflits de mots entre le programme du " moi" qui s'exprime et celui du "surmoi" qui réprime. Cette inhibition se réalise via la crainte et se dit, par exemple, dans des sons tels que le GR du tonnerre qui gronde, PAR, arme de la menace, ou le CR, signe de mort. En tant que lecteur, on s'étonne, on doute, on s'interroge, on cherche à vérifier ; et puis doucement ou brusquement, on se ressouvient et on finit par se rendre à l'évidence : ce code est cohérent, présent, vivant - mais enfoui. Il nous apporte des révélations sur les sources de notre langage et sur nous-même. On sort du livre ébranlé, bouleversé, passionné ; et cela, que l'on soit simple (!) amoureux des mots, curieux des origines de notre langage, ou qu'on s'intéresse au langage comme psychanalyste, psychologue, médecin, éducateur, enseignant, etc.