Entartete Musik. Musiques interdites sous le IIIe Reich

Par : Elise Petit, Bruno Giner

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  • Nombre de pages176
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.305 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,1 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-35884-047-7
  • EAN9782358840477
  • Date de parution22/04/2015
  • CollectionHorizons
  • ÉditeurBleu Nuit (éditions)

Résumé

L'expression nazie «Entartete Musik» («Musique dégénérée») qualifie un vaste répertoire musical d'oeuvres et de compositeurs interdits et diffamés sous le IIIème Reich. L'un des symboles reste l'exposition du même nom organisée en 1938 à Düsseldorf. Au nom de la «pureté de la race», le régime nazi glorifia les maîtres de la tradition musicale allemande et bannit les musiques atonales, celles de la seconde Ecole de Vienne (musique sérielle), les musiciens juifs, les opposants politiques et une grande partie des musiques «modernistes» du premier tiers du XXe siècle.
Le jazz, le cabaret et la chanson, tantôt autorisés tantôt détournés, subirent également les conséquences de cette politique. De nombreux compositeurs furent mis à l'index, notamment Erich Wolfgang Korngold, Erwin Schulhoff, Kurt Weill ou encore Paul Hindemith, «enfant exemplaire» dans un premier temps mais qui finit par décevoir le régime. Certains réussirent à s'exiler, d'autres moururent en déportation.
Mais cet immense catalogue d'oeuvres leur a survécu, terrible témoin de la barbarie nazie, imposant toujours un certain devoir de mémoire. Ce volume de la collection horizons vous propose de mieux comprendre cette période allemande historique et ces musiques à travers une synthèse inédite et illustrée, augmentée d'annexes utiles.
L'expression nazie «Entartete Musik» («Musique dégénérée») qualifie un vaste répertoire musical d'oeuvres et de compositeurs interdits et diffamés sous le IIIème Reich. L'un des symboles reste l'exposition du même nom organisée en 1938 à Düsseldorf. Au nom de la «pureté de la race», le régime nazi glorifia les maîtres de la tradition musicale allemande et bannit les musiques atonales, celles de la seconde Ecole de Vienne (musique sérielle), les musiciens juifs, les opposants politiques et une grande partie des musiques «modernistes» du premier tiers du XXe siècle.
Le jazz, le cabaret et la chanson, tantôt autorisés tantôt détournés, subirent également les conséquences de cette politique. De nombreux compositeurs furent mis à l'index, notamment Erich Wolfgang Korngold, Erwin Schulhoff, Kurt Weill ou encore Paul Hindemith, «enfant exemplaire» dans un premier temps mais qui finit par décevoir le régime. Certains réussirent à s'exiler, d'autres moururent en déportation.
Mais cet immense catalogue d'oeuvres leur a survécu, terrible témoin de la barbarie nazie, imposant toujours un certain devoir de mémoire. Ce volume de la collection horizons vous propose de mieux comprendre cette période allemande historique et ces musiques à travers une synthèse inédite et illustrée, augmentée d'annexes utiles.