En Attendant Godot Ou L'Amitie Cruelle
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages153
- PrésentationBroché
- Poids0.21 kg
- Dimensions14,5 cm × 18,8 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7011-3316-5
- EAN9782701133164
- Date de parution19/10/2002
- Collectionbelin sup lettres
- ÉditeurBelin
Résumé
Publié en 1952, En attendant Godot a déjà cinquante ans ; on voit mieux le chef-d'œuvre s'inscrire dans l'Histoire. Celle, d'abord, de la violence humaine : cette pièce ressortit à une littérature "lazaréenne", marquée par l'expérience de la guerre et de l'Extermination. Mais En attendant Godot prend sens aussi dans le processus, qui traverse tout le siècle, de contestation de l'art par lui-même : "désesthétisation" qui conduit Beckett à déjouer, par la provocation et la frustration, la communion de la salle avec la scène. Pour replacer cette ceuvre dans l'histoire du théâtre, on analyse ici la filiation qui la rattache à des dramaturges du conflit et de la cruauté : Strindberg, Artaud.
Crise du drame (du dialogue intersubjectif), crise de l'art (de la relation au public), crise de la guerre (de la Cité) : En attendant Godot ne connaît d'autre régime, pour le lien interhumain, que celui du déchirement : de l'amitié cruelle.
Publié en 1952, En attendant Godot a déjà cinquante ans ; on voit mieux le chef-d'œuvre s'inscrire dans l'Histoire. Celle, d'abord, de la violence humaine : cette pièce ressortit à une littérature "lazaréenne", marquée par l'expérience de la guerre et de l'Extermination. Mais En attendant Godot prend sens aussi dans le processus, qui traverse tout le siècle, de contestation de l'art par lui-même : "désesthétisation" qui conduit Beckett à déjouer, par la provocation et la frustration, la communion de la salle avec la scène. Pour replacer cette ceuvre dans l'histoire du théâtre, on analyse ici la filiation qui la rattache à des dramaturges du conflit et de la cruauté : Strindberg, Artaud.
Crise du drame (du dialogue intersubjectif), crise de l'art (de la relation au public), crise de la guerre (de la Cité) : En attendant Godot ne connaît d'autre régime, pour le lien interhumain, que celui du déchirement : de l'amitié cruelle.