"La crise", voilà le grand mensonge qui sert depuis plus de vingt ans à justifier l'inexorable montée du chômage. En réalité, le problème est bien plus culturel qu'économique. Inutile d'incriminer le choc pétrolier ou la mondialisation des échanges : les vrais responsables sont parmi nous.
Michel Godet accuse ceux qui abusent de leur pouvoir pour préserver leurs privilèges : l'Etat, le patronat et les syndicats ; et dénonce tous les archaïsmes d'une société malade de son passé. Comment peut-on espérer entrer dans le troisième millénaire avec les institutions et les conventions collectives de l'après-guerre ?
Le chômage n'est pas une fatalité, car si la France d'en haut est en panne, celle d'en bas bouge ! Il est temps de commencer à penser à l'avenir autrement, de changer les règles du jeu social et de procéder à un nouveau partage des richesses et du temps.
L'emploi est mort. Vive l'activité !
Un réquisitoire sans complaisance contre tous les anachronismes d'une société périmée. Décapant et indispensable pour ne plus se laisser abuser par les mensonges officiels.
"La crise", voilà le grand mensonge qui sert depuis plus de vingt ans à justifier l'inexorable montée du chômage. En réalité, le problème est bien plus culturel qu'économique. Inutile d'incriminer le choc pétrolier ou la mondialisation des échanges : les vrais responsables sont parmi nous.
Michel Godet accuse ceux qui abusent de leur pouvoir pour préserver leurs privilèges : l'Etat, le patronat et les syndicats ; et dénonce tous les archaïsmes d'une société malade de son passé. Comment peut-on espérer entrer dans le troisième millénaire avec les institutions et les conventions collectives de l'après-guerre ?
Le chômage n'est pas une fatalité, car si la France d'en haut est en panne, celle d'en bas bouge ! Il est temps de commencer à penser à l'avenir autrement, de changer les règles du jeu social et de procéder à un nouveau partage des richesses et du temps.
L'emploi est mort. Vive l'activité !
Un réquisitoire sans complaisance contre tous les anachronismes d'une société périmée. Décapant et indispensable pour ne plus se laisser abuser par les mensonges officiels.