Eléna est restée... et papa aussi - Occasion

Par : Erick de Armas

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  • Nombre de pages381
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.35 kg
  • Dimensions11,5 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-7427-6555-3
  • EAN9782742765553
  • Date de parution24/01/2007
  • CollectionLettres latino-américaines
  • ÉditeurActes Sud
  • TraducteurAlexandra Carrasco

Résumé

Les écrits sur les balseros sont pléthore, qui généralisent et glorifient pour ne restituer que rarement les singularités de chaque expédition, l'ambivalence qui anime les protagonistes, le faisceau de circonstances qui les jette à l'eau sur des embarcations de fortune. Tel est le propos de ce roman qui raconte par le menu les tribulations d'un groupe d'amis, candidats au départ, dans leurs tentatives d'évasion successives.
C'est aux destins particuliers qu'ici l'on s'attache, aux grandeurs comme aux turpitudes quotidiennes de ces personnes - plutôt que personnages - si truculentes, si pleines de vitalité, si avides d'exercer enfin leur libre arbitre. S'il est d'inspiration autobiographique, ce premier roman ne porte pas les stigmates habituels de la littérature cubaine de l'exil. Autodérision, distance et sobriété caractérisent le parti pris de l'auteur.
Et, parce qu'il ne se livre à aucun règlement de compte, il peut battre en brèche les dernières utopies insulaires et brocarder un certain glamour tropical très en vogue sous nos latitudes.
Les écrits sur les balseros sont pléthore, qui généralisent et glorifient pour ne restituer que rarement les singularités de chaque expédition, l'ambivalence qui anime les protagonistes, le faisceau de circonstances qui les jette à l'eau sur des embarcations de fortune. Tel est le propos de ce roman qui raconte par le menu les tribulations d'un groupe d'amis, candidats au départ, dans leurs tentatives d'évasion successives.
C'est aux destins particuliers qu'ici l'on s'attache, aux grandeurs comme aux turpitudes quotidiennes de ces personnes - plutôt que personnages - si truculentes, si pleines de vitalité, si avides d'exercer enfin leur libre arbitre. S'il est d'inspiration autobiographique, ce premier roman ne porte pas les stigmates habituels de la littérature cubaine de l'exil. Autodérision, distance et sobriété caractérisent le parti pris de l'auteur.
Et, parce qu'il ne se livre à aucun règlement de compte, il peut battre en brèche les dernières utopies insulaires et brocarder un certain glamour tropical très en vogue sous nos latitudes.