Election présidentielle ivoirienne de 2010. Etude des stratégies de communication des candidats majeurs

Par : Titi Palé

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  • Nombre de pages312
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.495 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-343-15580-7
  • EAN9782343155807
  • Date de parution27/09/2018
  • CollectionEtudes africaines
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

En 2010, l'Etat ivoirien organisait une élection présidentielle pour sortir d'une décennie de crise sociopolitique. Si la polémique sur l'issue de ce scrutin n'est pas complètement éteinte, il est désormais scientifiquement possible de revenir à froid sur les stratégies de communication politique déployées par les candidats au cours de cette compétition électorale. Ce livre est le résultat d'une étude doctorale qui s'est penchée sur le discours et l'offre politique des trois candidats majeurs de cette élection : Laurent Gbagbo (Majorité présidentielle), Henri Konan Bédié (Parti démocrate de Côte d'Ivoire) et Alassane Dramane Ouattara (Rassemblement des républicains).
L'objectif de l'étude est de déterminer les différents axes de communication partisane qui permettent d'éclairer les postures, le profil sociologique et le comportement de l'électeur ivoirien qui fait face à une offre politique plurielle. Plus précisément, les investigations se sont consacrées, d'une part, à la détermination de l'électorat ivoirien dans ses différentes composantes sociales, politiques et culturelles, mais aussi psychosociologiques.
Dans cette étude, l'électorat ivoirien est donc défini en termes d'intentions de vote ou de motivations à voter pour tel ou tel candidat. Par ailleurs, l'étude observe les moyens de communication utilisés par ces candidats majeurs qui structurent et couvrent le champ politique ivoirien en s'adossant sur leurs partis politiques respectifs. L'ensemble de ces perspectives montre que la confrontation électorale de 2010 laissait apparaître des représentations sociales, des dynamiques ethnorégionales et des imaginaires politiques très marqués.
Le contexte électoral de 2010 et ses déterminants sociohistoriques ont donc profondément pesé sur la fabrique des discours et des stratégies de communication, déterminant le comportement des candidats majeurs de cet exercice démocratique qui, de fait, était à la fois déterminant et clivant.
En 2010, l'Etat ivoirien organisait une élection présidentielle pour sortir d'une décennie de crise sociopolitique. Si la polémique sur l'issue de ce scrutin n'est pas complètement éteinte, il est désormais scientifiquement possible de revenir à froid sur les stratégies de communication politique déployées par les candidats au cours de cette compétition électorale. Ce livre est le résultat d'une étude doctorale qui s'est penchée sur le discours et l'offre politique des trois candidats majeurs de cette élection : Laurent Gbagbo (Majorité présidentielle), Henri Konan Bédié (Parti démocrate de Côte d'Ivoire) et Alassane Dramane Ouattara (Rassemblement des républicains).
L'objectif de l'étude est de déterminer les différents axes de communication partisane qui permettent d'éclairer les postures, le profil sociologique et le comportement de l'électeur ivoirien qui fait face à une offre politique plurielle. Plus précisément, les investigations se sont consacrées, d'une part, à la détermination de l'électorat ivoirien dans ses différentes composantes sociales, politiques et culturelles, mais aussi psychosociologiques.
Dans cette étude, l'électorat ivoirien est donc défini en termes d'intentions de vote ou de motivations à voter pour tel ou tel candidat. Par ailleurs, l'étude observe les moyens de communication utilisés par ces candidats majeurs qui structurent et couvrent le champ politique ivoirien en s'adossant sur leurs partis politiques respectifs. L'ensemble de ces perspectives montre que la confrontation électorale de 2010 laissait apparaître des représentations sociales, des dynamiques ethnorégionales et des imaginaires politiques très marqués.
Le contexte électoral de 2010 et ses déterminants sociohistoriques ont donc profondément pesé sur la fabrique des discours et des stratégies de communication, déterminant le comportement des candidats majeurs de cet exercice démocratique qui, de fait, était à la fois déterminant et clivant.