Ecritures fantastiques allemandes

Par : Jean-Jacques Pollet

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages335
  • PrésentationBroché
  • Poids0.568 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-84832-118-9
  • EAN9782848321189
  • Date de parution01/10/2010
  • CollectionLettres et civilisations étran
  • ÉditeurArtois Presses Université

Résumé

Les spectres, plaisantait Henri Heine, ont décidément quelque chose d'allemand. Doit-on pour autant en conclure qu'il existe une littérature fantastique allemande spécifique ? Le présent recueil rassemble un certain nombre d'études censées à la fois délimiter un territoire et proposer quelques repères chronologiques. Les moments distingués - L'héritage hoffmannien ; Entre Décadence et fascisme ; L'Ecole " pragoise " ; Les littératures de l'Après - dessinent une tradition faite d'allégeances, de ruptures, d'hybridations qui tentent à chaque fois de mettre en récit le non-dit d'une époque donnée.
De E. T. A Hoffmann à H. von Kleist, de G. Meyrink, H. H. Ewers à L. Perutz, de A. Lernet-Holenia à F. G. Jünger, cette " autre scène " nous convainc que l'affinité entre le genre fantastique et ce que l'on appelle sommairement la culture germanique ne réside pas - contrairement, peut-être, à une idée reçue - dans la célébration commune d'une sorte d'irrationalisme premier indifférent à l'Histoire, mais plutôt dans le partage d'une interrogation inquiète, voire angoissée mais toujours parfaitement raisonnée, sur la validité des formes mêmes des discours de raison pour dire la relation de l'individu à l'Histoire.
Les spectres, plaisantait Henri Heine, ont décidément quelque chose d'allemand. Doit-on pour autant en conclure qu'il existe une littérature fantastique allemande spécifique ? Le présent recueil rassemble un certain nombre d'études censées à la fois délimiter un territoire et proposer quelques repères chronologiques. Les moments distingués - L'héritage hoffmannien ; Entre Décadence et fascisme ; L'Ecole " pragoise " ; Les littératures de l'Après - dessinent une tradition faite d'allégeances, de ruptures, d'hybridations qui tentent à chaque fois de mettre en récit le non-dit d'une époque donnée.
De E. T. A Hoffmann à H. von Kleist, de G. Meyrink, H. H. Ewers à L. Perutz, de A. Lernet-Holenia à F. G. Jünger, cette " autre scène " nous convainc que l'affinité entre le genre fantastique et ce que l'on appelle sommairement la culture germanique ne réside pas - contrairement, peut-être, à une idée reçue - dans la célébration commune d'une sorte d'irrationalisme premier indifférent à l'Histoire, mais plutôt dans le partage d'une interrogation inquiète, voire angoissée mais toujours parfaitement raisonnée, sur la validité des formes mêmes des discours de raison pour dire la relation de l'individu à l'Histoire.
La nuit de Walpurgis
Gustav Meyrink
E-book
9,99 €
Marie Stuart
4.7/5
3.6/5
Stefan Zweig
Grand Format
26,90 €
Mademoiselle Else
5/5
4.2/5
Arthur Schnitzler
Poche
3,80 €
Marie Stuart
4.7/5
3.6/5
Stefan Zweig
E-book
18,99 €
La nuit de Walpurgis
Gustav Meyrink
E-book
9,99 €