Du sublime

Par : Pierre Longin

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages148
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.105 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-86930-700-1
  • EAN9782869307001
  • Date de parution12/11/2008
  • CollectionPetite bibliothèque
  • ÉditeurRivages poche
  • AnnotateurJackie Pigeaud

Résumé

C'est bien un livre d'or, comme le disait Casaubon. Il suffit d'y pénétrer pour s'en convaincre. C'est le seul livre de rhétorique qui bouleverse d'émotion. Mais est-ce bien de la rhétorique ? Le projet est plus stimulant. La question générale est posée' d'entrée. Il s'agit de savoir jusqu'à quel degré l'on peut pousser nos donnés naturels. Le problème de fond est celui du rapport de la technique à l'art. C'est l'essence du sublime, conçu comme un élan réalisé dans des oeuvres, qui intéresse l'auteur. Posant le problème de la création d'un point de vue lui-même sublime, il rencontre évidemment la question de la frontière, du passage entre l'inné et l'acquis, entre le don et la technique. Longin pense que tout n'est pas désespéré, que la frontière n'est pas étanche, et que l'on peut éduquer au sublime. Il faut essayer de se donner des critères de la grandeur. Jacques Pigeaud.
C'est bien un livre d'or, comme le disait Casaubon. Il suffit d'y pénétrer pour s'en convaincre. C'est le seul livre de rhétorique qui bouleverse d'émotion. Mais est-ce bien de la rhétorique ? Le projet est plus stimulant. La question générale est posée' d'entrée. Il s'agit de savoir jusqu'à quel degré l'on peut pousser nos donnés naturels. Le problème de fond est celui du rapport de la technique à l'art. C'est l'essence du sublime, conçu comme un élan réalisé dans des oeuvres, qui intéresse l'auteur. Posant le problème de la création d'un point de vue lui-même sublime, il rencontre évidemment la question de la frontière, du passage entre l'inné et l'acquis, entre le don et la technique. Longin pense que tout n'est pas désespéré, que la frontière n'est pas étanche, et que l'on peut éduquer au sublime. Il faut essayer de se donner des critères de la grandeur. Jacques Pigeaud.