Droit et normativité chez Jacques Derrida
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages322
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.405 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-88-6976-366-3
- EAN9788869763663
- Date de parution22/06/2023
- CollectionPhilosophie
- ÉditeurMimesis
Résumé
Ce livre est une exploration de la pensée de Jacques Derrida en suivant un fil conducteur : la thèse de "l’archi-droit". Selon cette thèse, Derrida laisse entrevoir que le domaine pratique est régi par des effets d’écriture. Tout se passe comme si, avant la constitution d’une éthique ou d’une morale, et avant les concepts de "bien" et de "mal", de "bon" et de "mauvais", de "correct" et d’"incorrect", de "raisonnable" et d’"irraisonnable", la sphère de l’agir se structurait comme un système juridique.
Elle dépendrait ainsi de tout ce que la tradition métaphysique classait comme secondaire dans le champ normatif, à savoir la prescription, la sanction, la contrainte, la procédure, le tiers, le jugement, l’autorité, les droits subjectifs. En multipliant les zones de friction entre les textes de Derrida et les problèmes classiques de la philosophie du droit, Rezende nous montre non seulement que les questions normatives ont toujours contaminé la déconstruction, mais aussi que la normativité n’est possible qu’à partir d’une certaine déconstruction.
Elle dépendrait ainsi de tout ce que la tradition métaphysique classait comme secondaire dans le champ normatif, à savoir la prescription, la sanction, la contrainte, la procédure, le tiers, le jugement, l’autorité, les droits subjectifs. En multipliant les zones de friction entre les textes de Derrida et les problèmes classiques de la philosophie du droit, Rezende nous montre non seulement que les questions normatives ont toujours contaminé la déconstruction, mais aussi que la normativité n’est possible qu’à partir d’une certaine déconstruction.
Ce livre est une exploration de la pensée de Jacques Derrida en suivant un fil conducteur : la thèse de "l’archi-droit". Selon cette thèse, Derrida laisse entrevoir que le domaine pratique est régi par des effets d’écriture. Tout se passe comme si, avant la constitution d’une éthique ou d’une morale, et avant les concepts de "bien" et de "mal", de "bon" et de "mauvais", de "correct" et d’"incorrect", de "raisonnable" et d’"irraisonnable", la sphère de l’agir se structurait comme un système juridique.
Elle dépendrait ainsi de tout ce que la tradition métaphysique classait comme secondaire dans le champ normatif, à savoir la prescription, la sanction, la contrainte, la procédure, le tiers, le jugement, l’autorité, les droits subjectifs. En multipliant les zones de friction entre les textes de Derrida et les problèmes classiques de la philosophie du droit, Rezende nous montre non seulement que les questions normatives ont toujours contaminé la déconstruction, mais aussi que la normativité n’est possible qu’à partir d’une certaine déconstruction.
Elle dépendrait ainsi de tout ce que la tradition métaphysique classait comme secondaire dans le champ normatif, à savoir la prescription, la sanction, la contrainte, la procédure, le tiers, le jugement, l’autorité, les droits subjectifs. En multipliant les zones de friction entre les textes de Derrida et les problèmes classiques de la philosophie du droit, Rezende nous montre non seulement que les questions normatives ont toujours contaminé la déconstruction, mais aussi que la normativité n’est possible qu’à partir d’une certaine déconstruction.