Dressage. suivi de Une brune piquante. Les quatre jeudis. Barbara
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- Nombre de pages190
- PrésentationBroché
- Poids0.235 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,7 cm
- ISBN2-84228-095-4
- EAN9782842280956
- Date de parution02/03/2000
- Collectionbibliothèque libertine
- ÉditeurLe Pré aux Clercs
Résumé
L'œuvre de Bernard Montorgueil, auteur et illustrateur plein de charme et d'audace, commença à circuler sous le manteau dans les années 50, mais elle date de l'entre-deux-guerres. A la fin des années 70, ses textes et dessins furent enfin publiés " officiellement ", ce qui leur valut une double page dans Libération, le situant ainsi au tout premier rang parmi les illustrateurs érotiques du XXe siècle.
Voici un exemple rare d'hommes asservis par des femmes, certes hautaines, mais qui ne sont ni des lutteuses, ni des géantes aux charmes agressifs, ni des monstres au sexe incertain. Ici, c'est devant la douceur que succombe la virilité, c'est la grâce plus que la violence qui rend l'humiliation sensuelle.
Les œuvres de Bernard Montorgueil, dont les textes collent aux dessins comme le cuir à la peau, sont, sans nul doute, la plus délicate représentation du masochisme masculin, sinon la seule.
Ces quatre nouvelles illustrées ont la séduction des choses disparues, le charme tendre et désuet de la première parti de ce siècle finissant.
L'œuvre de Bernard Montorgueil, auteur et illustrateur plein de charme et d'audace, commença à circuler sous le manteau dans les années 50, mais elle date de l'entre-deux-guerres. A la fin des années 70, ses textes et dessins furent enfin publiés " officiellement ", ce qui leur valut une double page dans Libération, le situant ainsi au tout premier rang parmi les illustrateurs érotiques du XXe siècle.
Voici un exemple rare d'hommes asservis par des femmes, certes hautaines, mais qui ne sont ni des lutteuses, ni des géantes aux charmes agressifs, ni des monstres au sexe incertain. Ici, c'est devant la douceur que succombe la virilité, c'est la grâce plus que la violence qui rend l'humiliation sensuelle.
Les œuvres de Bernard Montorgueil, dont les textes collent aux dessins comme le cuir à la peau, sont, sans nul doute, la plus délicate représentation du masochisme masculin, sinon la seule.
Ces quatre nouvelles illustrées ont la séduction des choses disparues, le charme tendre et désuet de la première parti de ce siècle finissant.