" Et je remercie mon Créateur ! De m'avoir fait vivre en ces journées ! où vous, noble Monsieur, éclairez en cette fin du XVIIIe siècle le monde comme une vive et brillante lumière (...) Pas de bonne action, pas de bonne parole qui se perde ; la récompense ne peut manquer de venir ! On peut le dire au public pour l'attirer et l'inciter à faire pareil ! le sage agit par devoir ! celui qui est plus sage encore agit par respect pour le devoir ! il se prosterne profondément devant la sainteté du devoir ! Il croit en Dieu ! Il en pressent la majesté ! Ainsi disait la lettre... ".
" Et je remercie mon Créateur ! De m'avoir fait vivre en ces journées ! où vous, noble Monsieur, éclairez en cette fin du XVIIIe siècle le monde comme une vive et brillante lumière (...) Pas de bonne action, pas de bonne parole qui se perde ; la récompense ne peut manquer de venir ! On peut le dire au public pour l'attirer et l'inciter à faire pareil ! le sage agit par devoir ! celui qui est plus sage encore agit par respect pour le devoir ! il se prosterne profondément devant la sainteté du devoir ! Il croit en Dieu ! Il en pressent la majesté ! Ainsi disait la lettre... ".