Diplomatie, rhétorique et canonnières. Relations entre la Chine et l'Angleterre, de l'ambassade Macartney à la guerre de l'opium, 1793-1842
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- Nombre de pages140
- PrésentationBroché
- Poids0.175 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-7637-8429-8
- EAN9782763784298
- Date de parution01/11/2007
- ÉditeurPresses Université Laval
Résumé
S'adressant à la fois aux spécialistes, aux étudiants et à un public cultivé, le présent ouvrage offre une analyse originale des relations sino-anglaises des XVIIIe et XIXe siècles, soulignant le lien qui existe entre l'ambassade Macartney de 1793 et la guerre de l'Opium de 1840-1842. L'approche novatrice de l'auteur, inspirée de l'analyse rhétorique, mettant en valeur les procédés d'argumentation qui jonchent les correspondances échangées entre le gouvernement anglais et le gouvernement chinois, lui permet de souligner l'évolution, voire la transformation de l'attitude diplomatique de chacun des protagonistes. L'auteur interroge certains lieux communs de l'historiographie, comme celui de l'incompréhension culturelle entre les deux visions du monde ou celui voulant que le traité de Nankin de 1842 soit le premier des traités inégaux. Pour l'auteur, au contraire, ce dernier devrait être lu plutôt comme l'aboutissement d'un processus diplomatique qui s'inscrit dans la longue durée des relations sino-anglaises.
S'adressant à la fois aux spécialistes, aux étudiants et à un public cultivé, le présent ouvrage offre une analyse originale des relations sino-anglaises des XVIIIe et XIXe siècles, soulignant le lien qui existe entre l'ambassade Macartney de 1793 et la guerre de l'Opium de 1840-1842. L'approche novatrice de l'auteur, inspirée de l'analyse rhétorique, mettant en valeur les procédés d'argumentation qui jonchent les correspondances échangées entre le gouvernement anglais et le gouvernement chinois, lui permet de souligner l'évolution, voire la transformation de l'attitude diplomatique de chacun des protagonistes. L'auteur interroge certains lieux communs de l'historiographie, comme celui de l'incompréhension culturelle entre les deux visions du monde ou celui voulant que le traité de Nankin de 1842 soit le premier des traités inégaux. Pour l'auteur, au contraire, ce dernier devrait être lu plutôt comme l'aboutissement d'un processus diplomatique qui s'inscrit dans la longue durée des relations sino-anglaises.