Dieu Vivant (1945-1955). Christianisme et eschatologie
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- Nombre de pages184
- PrésentationBroché
- Poids0.218 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-85443-569-6
- EAN9782854435696
- Date de parution08/10/2015
- CollectionEssai d'histoire
- ÉditeurCLD
Résumé
Cette monographie vient reconstituer l'histoire d'une revue prestigieuse, Dieu vivant (1945-1955), animée par Marcel Moré, Jean Daniélou et Louis Massignon, mûrie sous l'Occupation et dans la résistance, et qui accompagna par sa dominante théologique et sa spiritualité "eschatologique" les angoisses de la Guerre froide, la vogue de "l'existentialisme", les approfondissements du dialogue oecuménique et interreligieux et les renouvellements de la pensée catholique dans le moment préconciliaire.
Entre Esprit (Mounier), Critique (Bataille) et Les Temps modernes (Sartre), très liée à l'itinéraire spirituel de son principal animateur Marcel Moré (1887-1969), la revue marqua l'un des principaux carrefours intellectuels du moment, laissant ensuite une trace profonde par la qualité et la variété de ses collaborations, le tranchant dialectique de ses positionnements et l'intensité de ses sommaires.
Sartre, Bataille, Queneau ou Klossowski, Michel Leiris, Brice Parain ou Jean Hyppolite, mais aussi les Pères de Lubac, Fessard, Bouyer, Urs von Balthasar, Monchanin, Claudel, Maurice de Gandillac ou Gabriel Marcel ont croisé son histoire, à des titres divers, faisant ainsi de Dieu vivant le principal organe de la "nouvelle théologie" d'après-guerre.
Entre Esprit (Mounier), Critique (Bataille) et Les Temps modernes (Sartre), très liée à l'itinéraire spirituel de son principal animateur Marcel Moré (1887-1969), la revue marqua l'un des principaux carrefours intellectuels du moment, laissant ensuite une trace profonde par la qualité et la variété de ses collaborations, le tranchant dialectique de ses positionnements et l'intensité de ses sommaires.
Sartre, Bataille, Queneau ou Klossowski, Michel Leiris, Brice Parain ou Jean Hyppolite, mais aussi les Pères de Lubac, Fessard, Bouyer, Urs von Balthasar, Monchanin, Claudel, Maurice de Gandillac ou Gabriel Marcel ont croisé son histoire, à des titres divers, faisant ainsi de Dieu vivant le principal organe de la "nouvelle théologie" d'après-guerre.
Cette monographie vient reconstituer l'histoire d'une revue prestigieuse, Dieu vivant (1945-1955), animée par Marcel Moré, Jean Daniélou et Louis Massignon, mûrie sous l'Occupation et dans la résistance, et qui accompagna par sa dominante théologique et sa spiritualité "eschatologique" les angoisses de la Guerre froide, la vogue de "l'existentialisme", les approfondissements du dialogue oecuménique et interreligieux et les renouvellements de la pensée catholique dans le moment préconciliaire.
Entre Esprit (Mounier), Critique (Bataille) et Les Temps modernes (Sartre), très liée à l'itinéraire spirituel de son principal animateur Marcel Moré (1887-1969), la revue marqua l'un des principaux carrefours intellectuels du moment, laissant ensuite une trace profonde par la qualité et la variété de ses collaborations, le tranchant dialectique de ses positionnements et l'intensité de ses sommaires.
Sartre, Bataille, Queneau ou Klossowski, Michel Leiris, Brice Parain ou Jean Hyppolite, mais aussi les Pères de Lubac, Fessard, Bouyer, Urs von Balthasar, Monchanin, Claudel, Maurice de Gandillac ou Gabriel Marcel ont croisé son histoire, à des titres divers, faisant ainsi de Dieu vivant le principal organe de la "nouvelle théologie" d'après-guerre.
Entre Esprit (Mounier), Critique (Bataille) et Les Temps modernes (Sartre), très liée à l'itinéraire spirituel de son principal animateur Marcel Moré (1887-1969), la revue marqua l'un des principaux carrefours intellectuels du moment, laissant ensuite une trace profonde par la qualité et la variété de ses collaborations, le tranchant dialectique de ses positionnements et l'intensité de ses sommaires.
Sartre, Bataille, Queneau ou Klossowski, Michel Leiris, Brice Parain ou Jean Hyppolite, mais aussi les Pères de Lubac, Fessard, Bouyer, Urs von Balthasar, Monchanin, Claudel, Maurice de Gandillac ou Gabriel Marcel ont croisé son histoire, à des titres divers, faisant ainsi de Dieu vivant le principal organe de la "nouvelle théologie" d'après-guerre.