En faisant dépendre la " toute-puissance " divine du Père lui-même, le Nouveau Testament et, à sa suite, le Credo de l'Eglise, manifestent que celle-ci n'est pas une omnipotence arbitraire d'un despote irresponsable voire sadique. Elle nous est présentée, bien au contraire, comme un mystère de Sagesse où l'efficience de la toute-puissance divine est entièrement ordonnée à un dessein bienveillant d'adoption filiale où se conjuguent inséparablement la vérité et l'amour du Dieu-trinité.
Le Dieu que le livre du P. Batut nous permet de redécouvrir est le " Père des miséricordes " et le " Dieu de toute consolation " (2 Co 1, 3). C'est ce Dieu que Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, nouveau Docteur de l'Eglise, nous permet d'aimer avec toute l'audace de l'amour filial.
En cette année du Père, dernière année préparatoire au Jubilé de l'an 2000, puissent tous ceux qui liront ce livre entrer plus avant dans le mystère personnel de Dieu, que le fils et l'Esprit nous révèlent : " La vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi (Père), le seul véritable Dieu " (Jn 17, 3) !
En faisant dépendre la " toute-puissance " divine du Père lui-même, le Nouveau Testament et, à sa suite, le Credo de l'Eglise, manifestent que celle-ci n'est pas une omnipotence arbitraire d'un despote irresponsable voire sadique. Elle nous est présentée, bien au contraire, comme un mystère de Sagesse où l'efficience de la toute-puissance divine est entièrement ordonnée à un dessein bienveillant d'adoption filiale où se conjuguent inséparablement la vérité et l'amour du Dieu-trinité.
Le Dieu que le livre du P. Batut nous permet de redécouvrir est le " Père des miséricordes " et le " Dieu de toute consolation " (2 Co 1, 3). C'est ce Dieu que Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, nouveau Docteur de l'Eglise, nous permet d'aimer avec toute l'audace de l'amour filial.
En cette année du Père, dernière année préparatoire au Jubilé de l'an 2000, puissent tous ceux qui liront ce livre entrer plus avant dans le mystère personnel de Dieu, que le fils et l'Esprit nous révèlent : " La vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi (Père), le seul véritable Dieu " (Jn 17, 3) !