Dieu et la pécheresse. Deux discours édifiants

Par : Ole Kirkegaard

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages115
  • PrésentationBroché
  • Poids0.1 kg
  • Dimensions10,4 cm × 17,1 cm × 0,5 cm
  • ISBN2-220-04400-9
  • EAN9782220044002
  • Date de parution14/01/1999
  • CollectionLes carnets
  • ÉditeurDDB

Résumé

Dans l'œuvre de Kierkegaard, les Discours édifiants trouvent une place particulière. Destinés à la lecture publique, ces discours religieux explicites s'adressent directement à l'auditeur, avec la force d'une parole toute proche. À ce lecteur, " cet individu de bonne volonté qui lit lentement, revenant à la page déjà lue, lisant à haute voix, - pour lui tout seul ". Ce volume reprend deux " Discours ", l'un consacré à l'immutabilité de Dieu et l'autre à la femme pécheresse qui tombe aux pieds de Jésus. Deux textes qui touchent au plus près à la gratuité de la foi. On y trouve exprimée, en même temps qu'une méditation sur l'immutabilité divine opposée à l'instabilité du cœur humain, une intense nostalgie de paix : celle que peut éprouver un homme harassé qui en vient à se demander s'il se connaît lui-même.
Dans l'œuvre de Kierkegaard, les Discours édifiants trouvent une place particulière. Destinés à la lecture publique, ces discours religieux explicites s'adressent directement à l'auditeur, avec la force d'une parole toute proche. À ce lecteur, " cet individu de bonne volonté qui lit lentement, revenant à la page déjà lue, lisant à haute voix, - pour lui tout seul ". Ce volume reprend deux " Discours ", l'un consacré à l'immutabilité de Dieu et l'autre à la femme pécheresse qui tombe aux pieds de Jésus. Deux textes qui touchent au plus près à la gratuité de la foi. On y trouve exprimée, en même temps qu'une méditation sur l'immutabilité divine opposée à l'instabilité du cœur humain, une intense nostalgie de paix : celle que peut éprouver un homme harassé qui en vient à se demander s'il se connaît lui-même.