Dieu Au - Dela Du Masculin Et Du Feminin. Celui/Celle Qui Est

Par : Elizabeth-A Johnson

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  • Nombre de pages438
  • PrésentationBroché
  • Poids0.63 kg
  • Dimensions13,7 cm × 21,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN2-204-06296-0
  • EAN9782204062961
  • Date de parution07/10/1999
  • CollectionCogitatio Fidei
  • ÉditeurCerf

Résumé

" Le symbole donne à penser "... Tout symbole religieux traduit une conception du mystère divin dans un langage qui a des effets considérables sur la communauté. Quel langage est approprié pour parler de Dieu, à la lumière de la réalité des femmes ? L'idée de Dieu est multiple, et elle constitue toujours le produit d'une culture liée à une époque, à un milieu donné. Dans une relecture de la Tradition et de l'Ecriture, Elizabeth A. Johnson repère une configuration d'un langage féministe chrétien issu d'expériences diverses : la présence universelle, vitalisante et libératrice de l'Esprit, la mémoire vivante du parcours particulier emprunté par la Sagesse dans l'histoire de Jésus, et la manifestation de cette Sagesse inconcevable qui donne naissance à l'univers et l'oriente. Ces discours convergent dans le symbole de la Trinité, communion vivante de relations personnelles mutuelles et égales. Depuis la capacité de relation de Dieu, l'auteur met en avant la participation de Sophia-Dieu à la souffrance du monde qui dynamise la praxis de la liberté, un discours qui se déploie à partir de cette matrice qu'est la vitalité, pure de Dieu, l'unique, désignée par le symbole Celui/Celle qui est. Aucun langage sur Dieu ne sera jamais approprié au mystère brûlant qu'il signifie. En revanche, un discours plus inclusif peut être élaboré, qui traduise la sagesse ancienne en l'associant à cette nouvelle justice rendue aux femmes.
" Le symbole donne à penser "... Tout symbole religieux traduit une conception du mystère divin dans un langage qui a des effets considérables sur la communauté. Quel langage est approprié pour parler de Dieu, à la lumière de la réalité des femmes ? L'idée de Dieu est multiple, et elle constitue toujours le produit d'une culture liée à une époque, à un milieu donné. Dans une relecture de la Tradition et de l'Ecriture, Elizabeth A. Johnson repère une configuration d'un langage féministe chrétien issu d'expériences diverses : la présence universelle, vitalisante et libératrice de l'Esprit, la mémoire vivante du parcours particulier emprunté par la Sagesse dans l'histoire de Jésus, et la manifestation de cette Sagesse inconcevable qui donne naissance à l'univers et l'oriente. Ces discours convergent dans le symbole de la Trinité, communion vivante de relations personnelles mutuelles et égales. Depuis la capacité de relation de Dieu, l'auteur met en avant la participation de Sophia-Dieu à la souffrance du monde qui dynamise la praxis de la liberté, un discours qui se déploie à partir de cette matrice qu'est la vitalité, pure de Dieu, l'unique, désignée par le symbole Celui/Celle qui est. Aucun langage sur Dieu ne sera jamais approprié au mystère brûlant qu'il signifie. En revanche, un discours plus inclusif peut être élaboré, qui traduise la sagesse ancienne en l'associant à cette nouvelle justice rendue aux femmes.