Diên-Biên-Phu. La fin des illusions (Notes d'Indochine, février-juillet 1954)
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.265 kg
- Dimensions13,8 cm × 20,4 cm × 1,4 cm
- ISBN2-86959-668-5
- EAN9782869596689
- Date de parution07/05/2004
- ÉditeurArléa
Résumé
Sur cette bataille perdue au fin fond de l'Extrême-Orient, sur l'enlisement du " corps expéditionnaire ", sur la désinformation organisée et l'impéritie du commandement militaire, sur la légèreté des politiques, nul n'était plus qualifié ni mieux placé que Robert Guillain, alors correspondant du Monde en Asie, pour découvrir et révéler aux Français ce que l'on s'obstinait à leur cacher. En relisant, cinquante ans après, le récit des combats et les analyses que ce très grand reporter en faisait dans ses articles du Monde, on est confondu par la pertinence de ses observations et le bien-fondé de son pronostic. En écho aux historiens qui ont bénéficié du temps de la réflexion et de la consultation des archives, il n'est pas inutile de montrer quelles étaient, à chaud et sur le terrain, les idées qui prévalaient alors, et l'acuité du regard d'un journaliste, qui compte parmi les plus grands de la profession.
Sur cette bataille perdue au fin fond de l'Extrême-Orient, sur l'enlisement du " corps expéditionnaire ", sur la désinformation organisée et l'impéritie du commandement militaire, sur la légèreté des politiques, nul n'était plus qualifié ni mieux placé que Robert Guillain, alors correspondant du Monde en Asie, pour découvrir et révéler aux Français ce que l'on s'obstinait à leur cacher. En relisant, cinquante ans après, le récit des combats et les analyses que ce très grand reporter en faisait dans ses articles du Monde, on est confondu par la pertinence de ses observations et le bien-fondé de son pronostic. En écho aux historiens qui ont bénéficié du temps de la réflexion et de la consultation des archives, il n'est pas inutile de montrer quelles étaient, à chaud et sur le terrain, les idées qui prévalaient alors, et l'acuité du regard d'un journaliste, qui compte parmi les plus grands de la profession.