Dictionnaire du malgache contemporain. Malgache-français, français-malgache
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- Nombre de pages394
- PrésentationRelié
- Poids0.705 kg
- Dimensions16,5 cm × 25,0 cm × 3,2 cm
- ISBN2-86537-627-3
- EAN9782865376278
- Date de parution01/12/1995
- CollectionHommes et Sociétés
- ÉditeurKarthala
Résumé
La langue malgache appartient à la famille des langues austronésiennes comme le javanais, le tagalog, le tahitien et bien d'autres langues de l'Asie du Sud-Est et du Pacifique. Toutes ces langues proviennent d'une seule et même langue appelée proto-austronésien (ou austronésien commun) dont le berceau serait situé sur la côte sud de la Chine ou à Taïwan. Dans cet ensemble, le linguiste norvégien Otto Dahl distingue deux grands sous-groupes : les langues du groupe formosan (de Taïwan) et les autres langues appelées malayo-polynésiennes.
La langue malgache est rattachée à la branche malayo-polynésienne occidentale et son berceau serait, toujours d'après les recherches de Otto Dahl, le sud de Bornéo. Cette langue a cependant subi au départ l'influence du malais et du javanais. A l'arrivée, elle entre en contact avec des langues bantoues et plus tard emprunte à l'arabe, à l'anglais et au français. Le malgache se caractérise par une faible dialectisation (différences dialectales très peu accentuées) qui n'empêche jamais l'intercompréhension.
Une de ses variétés, le parler merina de Tananarive, a été standardisée par les missionnaires britanniques qui traduisirent la Bible en 1823-1835 et fixèrent l'essentiel de l'orthographe. Aujourd'hui, la langue malgache est parlée par environ 12 millions de personnes à Madagascar. Hors de Madagascar, le malgache n'est parlé qu'à Mayotte (par un tiers environ de la population, soit 20 000 personnes), et par des émigrés, notamment en France (environ 40 000 personnes).
Dans ce dernier pays, le malgache est enseigné, comme langue seconde, à l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO, Paris).
La langue malgache est rattachée à la branche malayo-polynésienne occidentale et son berceau serait, toujours d'après les recherches de Otto Dahl, le sud de Bornéo. Cette langue a cependant subi au départ l'influence du malais et du javanais. A l'arrivée, elle entre en contact avec des langues bantoues et plus tard emprunte à l'arabe, à l'anglais et au français. Le malgache se caractérise par une faible dialectisation (différences dialectales très peu accentuées) qui n'empêche jamais l'intercompréhension.
Une de ses variétés, le parler merina de Tananarive, a été standardisée par les missionnaires britanniques qui traduisirent la Bible en 1823-1835 et fixèrent l'essentiel de l'orthographe. Aujourd'hui, la langue malgache est parlée par environ 12 millions de personnes à Madagascar. Hors de Madagascar, le malgache n'est parlé qu'à Mayotte (par un tiers environ de la population, soit 20 000 personnes), et par des émigrés, notamment en France (environ 40 000 personnes).
Dans ce dernier pays, le malgache est enseigné, comme langue seconde, à l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO, Paris).
La langue malgache appartient à la famille des langues austronésiennes comme le javanais, le tagalog, le tahitien et bien d'autres langues de l'Asie du Sud-Est et du Pacifique. Toutes ces langues proviennent d'une seule et même langue appelée proto-austronésien (ou austronésien commun) dont le berceau serait situé sur la côte sud de la Chine ou à Taïwan. Dans cet ensemble, le linguiste norvégien Otto Dahl distingue deux grands sous-groupes : les langues du groupe formosan (de Taïwan) et les autres langues appelées malayo-polynésiennes.
La langue malgache est rattachée à la branche malayo-polynésienne occidentale et son berceau serait, toujours d'après les recherches de Otto Dahl, le sud de Bornéo. Cette langue a cependant subi au départ l'influence du malais et du javanais. A l'arrivée, elle entre en contact avec des langues bantoues et plus tard emprunte à l'arabe, à l'anglais et au français. Le malgache se caractérise par une faible dialectisation (différences dialectales très peu accentuées) qui n'empêche jamais l'intercompréhension.
Une de ses variétés, le parler merina de Tananarive, a été standardisée par les missionnaires britanniques qui traduisirent la Bible en 1823-1835 et fixèrent l'essentiel de l'orthographe. Aujourd'hui, la langue malgache est parlée par environ 12 millions de personnes à Madagascar. Hors de Madagascar, le malgache n'est parlé qu'à Mayotte (par un tiers environ de la population, soit 20 000 personnes), et par des émigrés, notamment en France (environ 40 000 personnes).
Dans ce dernier pays, le malgache est enseigné, comme langue seconde, à l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO, Paris).
La langue malgache est rattachée à la branche malayo-polynésienne occidentale et son berceau serait, toujours d'après les recherches de Otto Dahl, le sud de Bornéo. Cette langue a cependant subi au départ l'influence du malais et du javanais. A l'arrivée, elle entre en contact avec des langues bantoues et plus tard emprunte à l'arabe, à l'anglais et au français. Le malgache se caractérise par une faible dialectisation (différences dialectales très peu accentuées) qui n'empêche jamais l'intercompréhension.
Une de ses variétés, le parler merina de Tananarive, a été standardisée par les missionnaires britanniques qui traduisirent la Bible en 1823-1835 et fixèrent l'essentiel de l'orthographe. Aujourd'hui, la langue malgache est parlée par environ 12 millions de personnes à Madagascar. Hors de Madagascar, le malgache n'est parlé qu'à Mayotte (par un tiers environ de la population, soit 20 000 personnes), et par des émigrés, notamment en France (environ 40 000 personnes).
Dans ce dernier pays, le malgache est enseigné, comme langue seconde, à l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO, Paris).