Deux vies valent mieux qu'une

Par : Jean-Marc Roberts
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  • Nombre de pages116
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.075 kg
  • Dimensions11,1 cm × 17,9 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-290-08630-8
  • EAN9782290086308
  • Date de parution20/08/2014
  • CollectionJ'ai lu. Roman
  • ÉditeurJ'ai lu

Résumé

" Etait-ce son sourire? Etait-ce son regard? Etait-ce son goût de l'autre? Sans doute tout cela à la fois. Tout ce qui faisait de Jean-Marc Roberts un homme hors du commun. Jean-Marc a tiré sa révérence au moment où s'achevait le Salon du livre. De temps à autre, entre deux traitements, entre deux tumeurs, entre deux saisons, comme il le disait lui-même, on le voyait réapparaître, cachant les stigmates de ce maudit cancer sous un chapeau qui lui donnait encore davantage d'allure.
La maladie n'avait qu'à bien se tenir. Lui se tenait droit face à elle, capable de la regarder en face, de la maintenir à distance. Quelle plus belle réplique que Deux vies valent mieux qu'une, paru moins de deux semaines avant sa mort ? "C'est lui qui a eu le mot de la fin, personne ne l'a eu à sa place. C'est un départ sur une victoire, la sienne ", murmure, ému, Pierre-Louis Basse, l'un de ses auteurs et amis.
Avec ce magnifique livre dont il nous a fait cadeau avant de disparaître, l'écrivain revient en force. Lui qui avait écrit son premier roman alors qu'il n'avait pas même 18 ans, vingt-cinq ouvrages plus tard nous livre sa vérité. De ses jeunes années en Italie à cette fin de vie précoce, le récit, bref et enlevé, est magistral. " Valérie Trierweiler
" Etait-ce son sourire? Etait-ce son regard? Etait-ce son goût de l'autre? Sans doute tout cela à la fois. Tout ce qui faisait de Jean-Marc Roberts un homme hors du commun. Jean-Marc a tiré sa révérence au moment où s'achevait le Salon du livre. De temps à autre, entre deux traitements, entre deux tumeurs, entre deux saisons, comme il le disait lui-même, on le voyait réapparaître, cachant les stigmates de ce maudit cancer sous un chapeau qui lui donnait encore davantage d'allure.
La maladie n'avait qu'à bien se tenir. Lui se tenait droit face à elle, capable de la regarder en face, de la maintenir à distance. Quelle plus belle réplique que Deux vies valent mieux qu'une, paru moins de deux semaines avant sa mort ? "C'est lui qui a eu le mot de la fin, personne ne l'a eu à sa place. C'est un départ sur une victoire, la sienne ", murmure, ému, Pierre-Louis Basse, l'un de ses auteurs et amis.
Avec ce magnifique livre dont il nous a fait cadeau avant de disparaître, l'écrivain revient en force. Lui qui avait écrit son premier roman alors qu'il n'avait pas même 18 ans, vingt-cinq ouvrages plus tard nous livre sa vérité. De ses jeunes années en Italie à cette fin de vie précoce, le récit, bref et enlevé, est magistral. " Valérie Trierweiler

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.7/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Décousu
Récit décousu, peu compréhensible, passant sans transition d'un thème à un autre, d'une époque à une autre. Je n'ai pas accroché du tout. A vous de juger au vue des autres critiques positives sur cet ouvrage qu'on lit en une heure tout au plus. Vite lui, vite oublié.
Récit décousu, peu compréhensible, passant sans transition d'un thème à un autre, d'une époque à une autre. Je n'ai pas accroché du tout. A vous de juger au vue des autres critiques positives sur cet ouvrage qu'on lit en une heure tout au plus. Vite lui, vite oublié.
Un livre court, complexe et dense
"Je ne suis pas encore mort, tellement vivant au contraire. Le moment présent est le plus important, je dirais crucial. Je ne promets aucun ordre dans ces pages, je ne promets plus rien de toute façon." Ce livre est un pêle-mêle de souvenirs et de pensées personnelles. C'est également le récit de sa maladie. Le livre est plein de pudeur, à la fois touchant et drôle.
"Je ne suis pas encore mort, tellement vivant au contraire. Le moment présent est le plus important, je dirais crucial. Je ne promets aucun ordre dans ces pages, je ne promets plus rien de toute façon." Ce livre est un pêle-mêle de souvenirs et de pensées personnelles. C'est également le récit de sa maladie. Le livre est plein de pudeur, à la fois touchant et drôle.
  • Drôle
  • Inattendu
  • Emouvant
  • XXIe siècle
  • Paris
  • famille
  • Monde de l'édition
  • cancer
  • sa famille
  • Calabre
  • Jean-Marc Roberts
  • amis....
  • vacances calabraises
Tumeur, saison 2
Quand on a vaincu un cancer du poumon, on se sait en sursis, on s'espère guéri. Quand une deuxième tumeur se présente quelques mois plus tard, on se sent condamné, on se rêve invincible. "Je ne veux rien, sauf guérir.", voilà ce que disait Jean-Marc ROBERTS quand son cancer a récidivé. Il n'a pas été exaucé mais sa maladie lui aura au moins offert l'occasion de se tourner vers son passé à la recherche des bonheurs enfouis. Alors il évoque ses étés adolescents en Calabre, ses chastes amours pour Mariella et surtout Amalia, son oncle Félix qui lui servait de père deux mois par an et c'est un peu du doux soleil de l'Italie qui s'invite dans la froideur aseptisée d'une chambre d'hôpital. Il parle de ses enfants, les cinq avec lesquels il a partagé des voyages lointains ou simplement dans Paris et de leurs mères qu'il n'a pas toujours su aimer et d'autres femmes, sa tante, sa mère, et Anna, la dernière, la seule à le comprendre, celle qu'il ne veut pas pour infirmière. Deux vies valent sans doute mieux qu'une mais il en a eu plus de deux : enfant amoureux de Matilde et des tartines à la sardine, adolescent lorgnant les bikinis sur les plages de Calabre, homme de plusieurs femmes, père de cinq enfants, écrivain, éditeur, etc. Malade certes, mais toujours vivant, toujours prêt à rassurer ses proches, toujours prompt à dédramatiser d'une boutade, jamais pitoyable, jamais raisonnable, jamais résigné (sauf peut-être quand sa voix l'abandonne), Jean-marc ROBERTS signe un livre -le dernier- pudique, insolent, drôle, optimiste et d'une sincérité désarmante.
Quand on a vaincu un cancer du poumon, on se sait en sursis, on s'espère guéri. Quand une deuxième tumeur se présente quelques mois plus tard, on se sent condamné, on se rêve invincible. "Je ne veux rien, sauf guérir.", voilà ce que disait Jean-Marc ROBERTS quand son cancer a récidivé. Il n'a pas été exaucé mais sa maladie lui aura au moins offert l'occasion de se tourner vers son passé à la recherche des bonheurs enfouis. Alors il évoque ses étés adolescents en Calabre, ses chastes amours pour Mariella et surtout Amalia, son oncle Félix qui lui servait de père deux mois par an et c'est un peu du doux soleil de l'Italie qui s'invite dans la froideur aseptisée d'une chambre d'hôpital. Il parle de ses enfants, les cinq avec lesquels il a partagé des voyages lointains ou simplement dans Paris et de leurs mères qu'il n'a pas toujours su aimer et d'autres femmes, sa tante, sa mère, et Anna, la dernière, la seule à le comprendre, celle qu'il ne veut pas pour infirmière. Deux vies valent sans doute mieux qu'une mais il en a eu plus de deux : enfant amoureux de Matilde et des tartines à la sardine, adolescent lorgnant les bikinis sur les plages de Calabre, homme de plusieurs femmes, père de cinq enfants, écrivain, éditeur, etc. Malade certes, mais toujours vivant, toujours prêt à rassurer ses proches, toujours prompt à dédramatiser d'une boutade, jamais pitoyable, jamais raisonnable, jamais résigné (sauf peut-être quand sa voix l'abandonne), Jean-marc ROBERTS signe un livre -le dernier- pudique, insolent, drôle, optimiste et d'une sincérité désarmante.
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