Des révolutions des orbes célestes

Par : Nicolas Copernic

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  • Nombre de pages112
  • PrésentationBroché
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions12,6 cm × 19,1 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-84352-086-X
  • EAN9782843520860
  • Date de parution22/01/1998
  • Collectionpergame
  • ÉditeurDiderot multimédia

Résumé

" Parmi les nombreuses études des lettres et des arts, j'estime qu'il faut surtout embrasser et poursuivre avec la plus grande ardeur celles qui portent sur les choses les plus belles et les plus dignes du savoir, lesquelles sont celles qui traitent des révolutions du monde divin et du cours des astres... Qu'y a-t-il de plus beau que le ciel ? " C'est par ces mots que s'ouvre le livre Des révolutions que Nicolas Copernic dédie au Pape Paul III pour se prémunir de la condamnation de ces contemporains. En plaçant le soleil au centre de son système, et en démontrant la mobilité de la Terre, Copernic applique à l'univers un point de vue esthétique : c'est la forme géométrique des corps célestes, la sphéricité qui déterminent le mouvement circulaire ; celui-ci étant le seul moyen de mettre en marche la machina mundi. Copernic oppose le mouvement naturel au mouvement violent, le mouvement rectiligne est contre-nature tandis que le mouvement circulaire est naturel ; " ordre splendide, géométrie lumineuse, cosmo-optique remplacent l'astronomie des anciens " car pour Copernic " la tâche du philosophe est de rechercher la vérité en toute chose dans la mesure où Dieu le permet à la raison humaine ".
" Parmi les nombreuses études des lettres et des arts, j'estime qu'il faut surtout embrasser et poursuivre avec la plus grande ardeur celles qui portent sur les choses les plus belles et les plus dignes du savoir, lesquelles sont celles qui traitent des révolutions du monde divin et du cours des astres... Qu'y a-t-il de plus beau que le ciel ? " C'est par ces mots que s'ouvre le livre Des révolutions que Nicolas Copernic dédie au Pape Paul III pour se prémunir de la condamnation de ces contemporains. En plaçant le soleil au centre de son système, et en démontrant la mobilité de la Terre, Copernic applique à l'univers un point de vue esthétique : c'est la forme géométrique des corps célestes, la sphéricité qui déterminent le mouvement circulaire ; celui-ci étant le seul moyen de mettre en marche la machina mundi. Copernic oppose le mouvement naturel au mouvement violent, le mouvement rectiligne est contre-nature tandis que le mouvement circulaire est naturel ; " ordre splendide, géométrie lumineuse, cosmo-optique remplacent l'astronomie des anciens " car pour Copernic " la tâche du philosophe est de rechercher la vérité en toute chose dans la mesure où Dieu le permet à la raison humaine ".