Des ravages du manque de sincérité dans les relations humaines

Par : Olivier Bardolle

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  • Nombre de pages141
  • PrésentationBroché
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-84636-090-1
  • EAN9782846360906
  • Date de parution01/02/2006
  • ÉditeurEsprit des Péninsules (L')

Résumé

A la manière d'un La Bruyère du temps présent, Olivier Bardolle poursuit sa recension des caractères contemporains. Après avoir abordé le thème de la peur dans De l'excès d'efficacité des systèmes paranoïaques et en attendant d'évoquer celui de la résignation dans De la prolifération des homoncules sur le devenir de l'espèce (à paraître en 2007), il plonge ici sa plume en forme de scalpel dans une plaie secrète des sociétés contemporaines : la fausseté.
Une lecture à déconseiller à tous les Tartuffes qui ne riront pas de se voir si nus dans le miroir que leur tend l'auteur du Monologue implacable. Tout en reconnaissant que l'humanité ne résisterait pas à une semaine de franchise totale, l'essayiste s'attache au fonctionnement d'un monde, le nôtre, pour lequel le réel est devenu un produit de luxe, très au-dessus de ses moyens. Sous le règne advenu du simulacre et de la simulation, les humains ne parviennent plus à communiquer que sur le mode de l'insincérité.
A la manière d'un La Bruyère du temps présent, Olivier Bardolle poursuit sa recension des caractères contemporains. Après avoir abordé le thème de la peur dans De l'excès d'efficacité des systèmes paranoïaques et en attendant d'évoquer celui de la résignation dans De la prolifération des homoncules sur le devenir de l'espèce (à paraître en 2007), il plonge ici sa plume en forme de scalpel dans une plaie secrète des sociétés contemporaines : la fausseté.
Une lecture à déconseiller à tous les Tartuffes qui ne riront pas de se voir si nus dans le miroir que leur tend l'auteur du Monologue implacable. Tout en reconnaissant que l'humanité ne résisterait pas à une semaine de franchise totale, l'essayiste s'attache au fonctionnement d'un monde, le nôtre, pour lequel le réel est devenu un produit de luxe, très au-dessus de ses moyens. Sous le règne advenu du simulacre et de la simulation, les humains ne parviennent plus à communiquer que sur le mode de l'insincérité.