Des artistes espagnols à Paris. Identités et engagements face à la guerre civile
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- Nombre de pages380
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.75 kg
- Dimensions16,7 cm × 22,1 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-7355-0973-7
- EAN9782735509737
- Date de parution13/01/2025
- CollectionL'art & l'essai
- ÉditeurCTHS
- PréfacierLaurence Bertrand Dorléac
Résumé
Dès le début de la guerre civile, les artistes espagnols de Paris, résidents de longue date et nouveaux arrivants, forment une communauté autour de Picasso, fervent soutien de l'avant-garde républicaine. l'iconographie ibérique, prisée pour son exotisme, est mise en valeur par un style moderne allégorique capable de traduire les violences de l'époque et l'exil. Dès le début de la guerre civile, les artistes espagnols de Paris, résidents de longue date et nouveaux arrivants, forment une communauté autour de Picasso, fervent soutien de l'avant-garde républicaine.
L'iconographie ibérique, prisée pour son exotisme, est mise en valeur par un style moderne souvent allégorique capable de traduire les violences de l'époque et l'exil. Cependant, d'autres voix se font entendre. Exposées dans de grandes vitrines à l'étranger, des oeuvres prestigieuses telles que celles d'Ignacio Zuloaga et Federico Beltran Masses servent ainsi la cause nationaliste. Glorifiés de leur vivant, nombre de ces créateurs seront ensuite oubliés.
Des années troubles de la guerre à la reprise des relations normalisées avec le régime franquiste dans les années cinquante, en passant par les années noires de l'Occupation à Paris, Amanda Herold-Marme restitue la complexité et l'ambiguïté des prises de position de ces artistes à la lumière de leurs choix esthétiques, entre tradition et modernité.
L'iconographie ibérique, prisée pour son exotisme, est mise en valeur par un style moderne souvent allégorique capable de traduire les violences de l'époque et l'exil. Cependant, d'autres voix se font entendre. Exposées dans de grandes vitrines à l'étranger, des oeuvres prestigieuses telles que celles d'Ignacio Zuloaga et Federico Beltran Masses servent ainsi la cause nationaliste. Glorifiés de leur vivant, nombre de ces créateurs seront ensuite oubliés.
Des années troubles de la guerre à la reprise des relations normalisées avec le régime franquiste dans les années cinquante, en passant par les années noires de l'Occupation à Paris, Amanda Herold-Marme restitue la complexité et l'ambiguïté des prises de position de ces artistes à la lumière de leurs choix esthétiques, entre tradition et modernité.
Dès le début de la guerre civile, les artistes espagnols de Paris, résidents de longue date et nouveaux arrivants, forment une communauté autour de Picasso, fervent soutien de l'avant-garde républicaine. l'iconographie ibérique, prisée pour son exotisme, est mise en valeur par un style moderne allégorique capable de traduire les violences de l'époque et l'exil. Dès le début de la guerre civile, les artistes espagnols de Paris, résidents de longue date et nouveaux arrivants, forment une communauté autour de Picasso, fervent soutien de l'avant-garde républicaine.
L'iconographie ibérique, prisée pour son exotisme, est mise en valeur par un style moderne souvent allégorique capable de traduire les violences de l'époque et l'exil. Cependant, d'autres voix se font entendre. Exposées dans de grandes vitrines à l'étranger, des oeuvres prestigieuses telles que celles d'Ignacio Zuloaga et Federico Beltran Masses servent ainsi la cause nationaliste. Glorifiés de leur vivant, nombre de ces créateurs seront ensuite oubliés.
Des années troubles de la guerre à la reprise des relations normalisées avec le régime franquiste dans les années cinquante, en passant par les années noires de l'Occupation à Paris, Amanda Herold-Marme restitue la complexité et l'ambiguïté des prises de position de ces artistes à la lumière de leurs choix esthétiques, entre tradition et modernité.
L'iconographie ibérique, prisée pour son exotisme, est mise en valeur par un style moderne souvent allégorique capable de traduire les violences de l'époque et l'exil. Cependant, d'autres voix se font entendre. Exposées dans de grandes vitrines à l'étranger, des oeuvres prestigieuses telles que celles d'Ignacio Zuloaga et Federico Beltran Masses servent ainsi la cause nationaliste. Glorifiés de leur vivant, nombre de ces créateurs seront ensuite oubliés.
Des années troubles de la guerre à la reprise des relations normalisées avec le régime franquiste dans les années cinquante, en passant par les années noires de l'Occupation à Paris, Amanda Herold-Marme restitue la complexité et l'ambiguïté des prises de position de ces artistes à la lumière de leurs choix esthétiques, entre tradition et modernité.