Dernières lettres d'Afrique et du Levant. 1940-1941

Par : François Garbit

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  • Nombre de pages168
  • PrésentationBroché
  • Poids0.255 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-84280-031-1
  • EAN9782842800314
  • Date de parution27/01/2000
  • ÉditeurSepia

Résumé

Brillant officier méhariste, forte personnalité, quoique toujours modeste, " être de lumière " pour certains, François Garbit rallie la France Libre en 1940. Il fait partie des premiers compagnons de la Libération (décret du 23 juin 1941). Il est mort en Syrie le 7 décembre 1941, d'une fièvre typhoïde contractée en service. Ainsi prenait fin, à 31 ans, sa courte et rayonnante carrière. Les lettres qu'il destinait à sa mère ont été publiées au Caire en 1942 par le Père Margot (Jésuite).
Cette édition restitue intégralement le manuscrit original de ces " Dernières lettres ". Elles nous font assister, écrivait le Père Margot, " au drame intime d'une âme droite qui n'a d'autre crainte que de capituler devant son devoir ". François Garbit nous apprend son désarroi en juin 1940, son refus d'accepter la défaite, sa décision d'adhérer au mouvement de la France Libre, la remontée au Tchad avec ses fidèles tirailleurs, la création du BM3 (bataillon de marche), la campagne d'Erythrée qui lui apporte la joie de la victoire, le drame du conflit franco-français en Palestine, sa blessure au premier jour, son approche du problème syrien.
La lucidité des analyses contenues dans ces lettres leur confère une valeur exemplaire et permanente.
Brillant officier méhariste, forte personnalité, quoique toujours modeste, " être de lumière " pour certains, François Garbit rallie la France Libre en 1940. Il fait partie des premiers compagnons de la Libération (décret du 23 juin 1941). Il est mort en Syrie le 7 décembre 1941, d'une fièvre typhoïde contractée en service. Ainsi prenait fin, à 31 ans, sa courte et rayonnante carrière. Les lettres qu'il destinait à sa mère ont été publiées au Caire en 1942 par le Père Margot (Jésuite).
Cette édition restitue intégralement le manuscrit original de ces " Dernières lettres ". Elles nous font assister, écrivait le Père Margot, " au drame intime d'une âme droite qui n'a d'autre crainte que de capituler devant son devoir ". François Garbit nous apprend son désarroi en juin 1940, son refus d'accepter la défaite, sa décision d'adhérer au mouvement de la France Libre, la remontée au Tchad avec ses fidèles tirailleurs, la création du BM3 (bataillon de marche), la campagne d'Erythrée qui lui apporte la joie de la victoire, le drame du conflit franco-français en Palestine, sa blessure au premier jour, son approche du problème syrien.
La lucidité des analyses contenues dans ces lettres leur confère une valeur exemplaire et permanente.