De la horde à l'Etat. Essai de psychanalyse du lien social
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- Nombre de pages464
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.511 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,8 cm
- ISBN2-07-024226-9
- EAN9782070242269
- Date de parution22/02/1983
- CollectionConnaissance de l'inconscient
- ÉditeurGallimard
Résumé
Ouvre d'un sociologue, cet ouvrage, foisonnant d'idées, élabore, en prenant appui sur les textes sociologiques de Freud, une analyse des formes du pouvoir dans les sociétés modernes. Car on trouve dans la pensée psychanalytique de quoi comprendre le paradoxe de la servitude volontaire : pourquoi les hommes qui se veulent libres et désirent être heureux s'en remettent-ils à des tyrans, chefs ou Etats, au point que la démocratie apparaît comme une idée toujours neuve ? Comprendre le lien social, c'est saisir la part que prennent la domination, les conflits, la violence sourde ou visible.
C'est envisager les rapports entre sexes, entre générations, avec ces nouveaux emblèmes du sacré que sont le travail et l'argent, c'est mettre en relation les mécanismes du pouvoir avec ceux de la paranoïa et de la perversion. Les sociétés contemporaines, où paraissent prédominer l'économie et la rationalité, sont en fait traversées par Eros et Thanatos. Les grandes notions freudiennes ne sauraient donc être circonscrites dans les limites de la psyché individuelle : pulsions, fantasmes, projections ne cessent d'agir dans le champ social.
C'est envisager les rapports entre sexes, entre générations, avec ces nouveaux emblèmes du sacré que sont le travail et l'argent, c'est mettre en relation les mécanismes du pouvoir avec ceux de la paranoïa et de la perversion. Les sociétés contemporaines, où paraissent prédominer l'économie et la rationalité, sont en fait traversées par Eros et Thanatos. Les grandes notions freudiennes ne sauraient donc être circonscrites dans les limites de la psyché individuelle : pulsions, fantasmes, projections ne cessent d'agir dans le champ social.
Ouvre d'un sociologue, cet ouvrage, foisonnant d'idées, élabore, en prenant appui sur les textes sociologiques de Freud, une analyse des formes du pouvoir dans les sociétés modernes. Car on trouve dans la pensée psychanalytique de quoi comprendre le paradoxe de la servitude volontaire : pourquoi les hommes qui se veulent libres et désirent être heureux s'en remettent-ils à des tyrans, chefs ou Etats, au point que la démocratie apparaît comme une idée toujours neuve ? Comprendre le lien social, c'est saisir la part que prennent la domination, les conflits, la violence sourde ou visible.
C'est envisager les rapports entre sexes, entre générations, avec ces nouveaux emblèmes du sacré que sont le travail et l'argent, c'est mettre en relation les mécanismes du pouvoir avec ceux de la paranoïa et de la perversion. Les sociétés contemporaines, où paraissent prédominer l'économie et la rationalité, sont en fait traversées par Eros et Thanatos. Les grandes notions freudiennes ne sauraient donc être circonscrites dans les limites de la psyché individuelle : pulsions, fantasmes, projections ne cessent d'agir dans le champ social.
C'est envisager les rapports entre sexes, entre générations, avec ces nouveaux emblèmes du sacré que sont le travail et l'argent, c'est mettre en relation les mécanismes du pouvoir avec ceux de la paranoïa et de la perversion. Les sociétés contemporaines, où paraissent prédominer l'économie et la rationalité, sont en fait traversées par Eros et Thanatos. Les grandes notions freudiennes ne sauraient donc être circonscrites dans les limites de la psyché individuelle : pulsions, fantasmes, projections ne cessent d'agir dans le champ social.