De l'origine et du progrès du café
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- Nombre de pages63
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.055 kg
- Dimensions11,9 cm × 15,4 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-917191-81-1
- EAN9782917191811
- Date de parution27/04/2013
- ÉditeurBerg International
- PostfacierPhilippe Uziel
Résumé
C’est à Antoine Galland, mort en 1715 dans sa soixante-neuvième année, que l’on doit les savoureuses pages intitulées « De l’origine et du progrès du café ». Cet opuscule, écrit sous forme de lettre, nous apparaît comme une petite synthèse scientifique, toute pétrie d’histoire naturelle, de botanique, de philologie et d’étymologie, de leçons de choses, de sociologie et d’ethnologie mais aussi et surtout de critique.
Cinq années plus tard il commencera à livrer la traduction de contes persans, « Les Mille et Une Nuits », ultérieurement diffusés à travers tout le monde occidental avec la notoriété que l’on sait ! Au-delà des éléments factuels ou informatifs, la modernité de ce texte sur le café réside dans son arôme dominant : le débat « faut-il légaliser ? ». Un débat de tous les temps, ici entre les docteurs mahométans au sujet de la consommation de café.
Singulièrement ce débat a encore cours aujourd’hui à propos de maints autres sujets. Antoine Galland, qui a été éduqué par des ecclésiastiques, a tout le recul critique, du fait de sa formation, pour faire l’apologie du Café contre certains docteurs mahométans qui avaient prétendu que l’usage devait en être défendu aux musulmans. L’humour et la pertinence dont il fait preuve sur les positions dogmatiques n’échapperont à personne, à une époque où l’opposition entre Jésuites et Jansénistes – Antoine Galland était de sensibilité janséniste – est vive.
Cinq années plus tard il commencera à livrer la traduction de contes persans, « Les Mille et Une Nuits », ultérieurement diffusés à travers tout le monde occidental avec la notoriété que l’on sait ! Au-delà des éléments factuels ou informatifs, la modernité de ce texte sur le café réside dans son arôme dominant : le débat « faut-il légaliser ? ». Un débat de tous les temps, ici entre les docteurs mahométans au sujet de la consommation de café.
Singulièrement ce débat a encore cours aujourd’hui à propos de maints autres sujets. Antoine Galland, qui a été éduqué par des ecclésiastiques, a tout le recul critique, du fait de sa formation, pour faire l’apologie du Café contre certains docteurs mahométans qui avaient prétendu que l’usage devait en être défendu aux musulmans. L’humour et la pertinence dont il fait preuve sur les positions dogmatiques n’échapperont à personne, à une époque où l’opposition entre Jésuites et Jansénistes – Antoine Galland était de sensibilité janséniste – est vive.
C’est à Antoine Galland, mort en 1715 dans sa soixante-neuvième année, que l’on doit les savoureuses pages intitulées « De l’origine et du progrès du café ». Cet opuscule, écrit sous forme de lettre, nous apparaît comme une petite synthèse scientifique, toute pétrie d’histoire naturelle, de botanique, de philologie et d’étymologie, de leçons de choses, de sociologie et d’ethnologie mais aussi et surtout de critique.
Cinq années plus tard il commencera à livrer la traduction de contes persans, « Les Mille et Une Nuits », ultérieurement diffusés à travers tout le monde occidental avec la notoriété que l’on sait ! Au-delà des éléments factuels ou informatifs, la modernité de ce texte sur le café réside dans son arôme dominant : le débat « faut-il légaliser ? ». Un débat de tous les temps, ici entre les docteurs mahométans au sujet de la consommation de café.
Singulièrement ce débat a encore cours aujourd’hui à propos de maints autres sujets. Antoine Galland, qui a été éduqué par des ecclésiastiques, a tout le recul critique, du fait de sa formation, pour faire l’apologie du Café contre certains docteurs mahométans qui avaient prétendu que l’usage devait en être défendu aux musulmans. L’humour et la pertinence dont il fait preuve sur les positions dogmatiques n’échapperont à personne, à une époque où l’opposition entre Jésuites et Jansénistes – Antoine Galland était de sensibilité janséniste – est vive.
Cinq années plus tard il commencera à livrer la traduction de contes persans, « Les Mille et Une Nuits », ultérieurement diffusés à travers tout le monde occidental avec la notoriété que l’on sait ! Au-delà des éléments factuels ou informatifs, la modernité de ce texte sur le café réside dans son arôme dominant : le débat « faut-il légaliser ? ». Un débat de tous les temps, ici entre les docteurs mahométans au sujet de la consommation de café.
Singulièrement ce débat a encore cours aujourd’hui à propos de maints autres sujets. Antoine Galland, qui a été éduqué par des ecclésiastiques, a tout le recul critique, du fait de sa formation, pour faire l’apologie du Café contre certains docteurs mahométans qui avaient prétendu que l’usage devait en être défendu aux musulmans. L’humour et la pertinence dont il fait preuve sur les positions dogmatiques n’échapperont à personne, à une époque où l’opposition entre Jésuites et Jansénistes – Antoine Galland était de sensibilité janséniste – est vive.