De l'Erika au Prestige : la mer de tous les vices. 3 volumes

Par : Edouard Landrain, Christophe Priou

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  • Nombre de pages1316
  • PrésentationPack
  • Poids2.05 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 6,6 cm
  • ISBN2-11-117054-2
  • EAN9782111170544
  • Date de parution01/07/2003
  • Collectiondocuments d'information
  • ÉditeurDocumentation Française (La)

Résumé

Trois ans après le naufrage de l'Erika au large de la Bretagne, la catastrophe du Prestige, pétrolier âgé, souvent réparé, transportant du fioul lourd, qui a sombré près de l'Espagne, a conduit l'Assemblée nationale à décider, le 5 février 2003, la création d'une Commission d'enquête sur la sécurité des transports maritimes. Celle-ci a déposé son rapport le 10 juillet 2003, après avoir procédé à vingt-sept auditions à l'Assemblée nationale, à quatre déplacements en France dans sept départements littoraux - où elle a tenu à entendre l'ensemble des personnes concernées -. La Commission d'enquête s'est également rendue à l'étranger, en Grèce, à Londres auprès des organisations internationales compétentes qui y ont leur siège, à Bruxelles auprès des autorités communautaires, et, naturellement, à Madrid et en Galice. Après avoir dressé le constat de la gestion de la crise du Prestige, la Commission s'est attachée à formuler de nouvelles recommandations, confirmant ou complétant celles de la précédente Commission d'enquête sur l'Erika qui n'ont pas été suivies d'effet, et tenant compte de l'évolution du contexte intervenu depuis lors. Ces préconisations visent à exiger les moyens, à l'avenir, d'empêcher de nouvelles marées noires sur nos côtes. Car c'est précisément parce que ces moyens existent et que les pollutions pétrolières peuvent être évitées, que celles-ci ne sont plus aujourd'hui supportables.
Trois ans après le naufrage de l'Erika au large de la Bretagne, la catastrophe du Prestige, pétrolier âgé, souvent réparé, transportant du fioul lourd, qui a sombré près de l'Espagne, a conduit l'Assemblée nationale à décider, le 5 février 2003, la création d'une Commission d'enquête sur la sécurité des transports maritimes. Celle-ci a déposé son rapport le 10 juillet 2003, après avoir procédé à vingt-sept auditions à l'Assemblée nationale, à quatre déplacements en France dans sept départements littoraux - où elle a tenu à entendre l'ensemble des personnes concernées -. La Commission d'enquête s'est également rendue à l'étranger, en Grèce, à Londres auprès des organisations internationales compétentes qui y ont leur siège, à Bruxelles auprès des autorités communautaires, et, naturellement, à Madrid et en Galice. Après avoir dressé le constat de la gestion de la crise du Prestige, la Commission s'est attachée à formuler de nouvelles recommandations, confirmant ou complétant celles de la précédente Commission d'enquête sur l'Erika qui n'ont pas été suivies d'effet, et tenant compte de l'évolution du contexte intervenu depuis lors. Ces préconisations visent à exiger les moyens, à l'avenir, d'empêcher de nouvelles marées noires sur nos côtes. Car c'est précisément parce que ces moyens existent et que les pollutions pétrolières peuvent être évitées, que celles-ci ne sont plus aujourd'hui supportables.