De Douai à Lille... Une université et son histoire
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- Nombre de pages150
- PrésentationBroché
- Poids0.213 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
- ISBN2-85939-098-7
- EAN9782859390983
- Date de parution01/01/1978
- ÉditeurPU du Septentrion
Résumé
Un passé confère une noblesse, surtout s'il est prestigieux, à tout le moins honorable. Si les actuelles Universités de Lille ne peuvent revendiquer une ancienneté remontant au Moyen Age, elles se glorifient d'appartenir au second âge des Universités, celui de l'humanisme et de la Réforme. En ce XVIe siècle qui les vit naître, les facultés de Douai offrent l'originalité de se situer au contact de deux cultures et d'établir un lien entre les universités françaises d'une part, les universités flamandes et néerlandaises d'autre part.
Comme toutes les universités, celle de Lille fut condamnée par les révolutionnaires en 1793. Il fallut un demi-siècle pour reconstituer à Douai et à Lille un ensemble universitaire. Du milieu du XIXe siècle à la seconde guerre mondiale, les quatre facultés rassemblées en 1887 au chef-lieu du département connaissent une seconde période glorieuse. La vision de ce passé réconfortant n'a pas engendré une passivité nostalgique.
L'Université de Lille s'est réorganisée afin de s'adapter aux nouvelles conditions culturelles, sociales, régionales. Depuis les années 1960, s'ouvre une troisième phase de cette histoire universitaire. Elle se caractérise par la prodigieuse croissance des effectifs d'étudiants, par l'excentration et la modernisation des bâtiments, par la multiplication des enseignements, des centre de recherches, des publications...
Comme toutes les universités, celle de Lille fut condamnée par les révolutionnaires en 1793. Il fallut un demi-siècle pour reconstituer à Douai et à Lille un ensemble universitaire. Du milieu du XIXe siècle à la seconde guerre mondiale, les quatre facultés rassemblées en 1887 au chef-lieu du département connaissent une seconde période glorieuse. La vision de ce passé réconfortant n'a pas engendré une passivité nostalgique.
L'Université de Lille s'est réorganisée afin de s'adapter aux nouvelles conditions culturelles, sociales, régionales. Depuis les années 1960, s'ouvre une troisième phase de cette histoire universitaire. Elle se caractérise par la prodigieuse croissance des effectifs d'étudiants, par l'excentration et la modernisation des bâtiments, par la multiplication des enseignements, des centre de recherches, des publications...
Un passé confère une noblesse, surtout s'il est prestigieux, à tout le moins honorable. Si les actuelles Universités de Lille ne peuvent revendiquer une ancienneté remontant au Moyen Age, elles se glorifient d'appartenir au second âge des Universités, celui de l'humanisme et de la Réforme. En ce XVIe siècle qui les vit naître, les facultés de Douai offrent l'originalité de se situer au contact de deux cultures et d'établir un lien entre les universités françaises d'une part, les universités flamandes et néerlandaises d'autre part.
Comme toutes les universités, celle de Lille fut condamnée par les révolutionnaires en 1793. Il fallut un demi-siècle pour reconstituer à Douai et à Lille un ensemble universitaire. Du milieu du XIXe siècle à la seconde guerre mondiale, les quatre facultés rassemblées en 1887 au chef-lieu du département connaissent une seconde période glorieuse. La vision de ce passé réconfortant n'a pas engendré une passivité nostalgique.
L'Université de Lille s'est réorganisée afin de s'adapter aux nouvelles conditions culturelles, sociales, régionales. Depuis les années 1960, s'ouvre une troisième phase de cette histoire universitaire. Elle se caractérise par la prodigieuse croissance des effectifs d'étudiants, par l'excentration et la modernisation des bâtiments, par la multiplication des enseignements, des centre de recherches, des publications...
Comme toutes les universités, celle de Lille fut condamnée par les révolutionnaires en 1793. Il fallut un demi-siècle pour reconstituer à Douai et à Lille un ensemble universitaire. Du milieu du XIXe siècle à la seconde guerre mondiale, les quatre facultés rassemblées en 1887 au chef-lieu du département connaissent une seconde période glorieuse. La vision de ce passé réconfortant n'a pas engendré une passivité nostalgique.
L'Université de Lille s'est réorganisée afin de s'adapter aux nouvelles conditions culturelles, sociales, régionales. Depuis les années 1960, s'ouvre une troisième phase de cette histoire universitaire. Elle se caractérise par la prodigieuse croissance des effectifs d'étudiants, par l'excentration et la modernisation des bâtiments, par la multiplication des enseignements, des centre de recherches, des publications...