David. A la recherche du héros perdu
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- Nombre de pages179
- PrésentationBroché
- Poids0.245 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7587-0036-4
- EAN9782758700364
- Date de parution19/03/2009
- ÉditeurBernard Giovanangeli Editeur
Résumé
Qui ne connaît les tableaux magistraux représentant le portrait de Madame Récamier ou le sacre de Napoléon 1er ? Ces œuvres sont nées de la main du peintre Jacques-Louis David, dont l'existence et le caractère épousèrent les convulsions de son époque. Depuis l'Ancien Régime jusqu'à la Restauration, David a vécu plusieurs vies, au gré de ses engagements exaltés, connaissant tour à tour la prison, la gloire et l'exil. Aspirant tout d'abord au titre de premier peintre de Louis XVI, puis devenant conventionnel régicide, il fut le metteur en scène des fêtes révolutionnaires de Robespierre, avant de redevenir peintre, mais cette fois au service de la propagande napoléonienne. Chef de file du néo-classicisme, quelques-uns des grands maîtres de la peinture du XIXe siècle sortirent de son atelier, parmi lesquels, Ingres. Pourtant, hanté par une inquiétude, David l'ambitieux fut toute sa vie tiraillé entre un besoin essentiel de reconnaissance paternelle et un souci viscéral d'identification avec un idéal antique noble et valeureux. Dans sa quête effrénée de légendes vivantes, David fit la rencontre de figures historiques mythiques, mais resta néanmoins à tout jamais à la recherche du héros perdu.
Qui ne connaît les tableaux magistraux représentant le portrait de Madame Récamier ou le sacre de Napoléon 1er ? Ces œuvres sont nées de la main du peintre Jacques-Louis David, dont l'existence et le caractère épousèrent les convulsions de son époque. Depuis l'Ancien Régime jusqu'à la Restauration, David a vécu plusieurs vies, au gré de ses engagements exaltés, connaissant tour à tour la prison, la gloire et l'exil. Aspirant tout d'abord au titre de premier peintre de Louis XVI, puis devenant conventionnel régicide, il fut le metteur en scène des fêtes révolutionnaires de Robespierre, avant de redevenir peintre, mais cette fois au service de la propagande napoléonienne. Chef de file du néo-classicisme, quelques-uns des grands maîtres de la peinture du XIXe siècle sortirent de son atelier, parmi lesquels, Ingres. Pourtant, hanté par une inquiétude, David l'ambitieux fut toute sa vie tiraillé entre un besoin essentiel de reconnaissance paternelle et un souci viscéral d'identification avec un idéal antique noble et valeureux. Dans sa quête effrénée de légendes vivantes, David fit la rencontre de figures historiques mythiques, mais resta néanmoins à tout jamais à la recherche du héros perdu.