Deuxième opus de la « Trilogie de la poudre », indépendant du précédent volume que j'avais beaucoup aimé, mais qui m'avait cependant laissée sur ma faim, tant la violence était au cœur du propos, « Seuls resteront le vent et la poussière » est un grand roman d'aventure façon western, hyper réaliste dans ses descriptions de l'ouest sauvage de cette fin du XIX° siècle, un roman à la plume acérée et fracassante de beauté.
Et les personnages !
Inattendus, hauts en couleur, animés par des caractères aussi différents que complémentaires, ils sont saisissants d'authenticité et d'absolu, chacun dans le but qu'il s'est fixé.
Ainsi, Vinh marquée à vie par le drame de sa famille est le bras de la vengeance, Kristopher, lui, et un mix de maladresse, de naïveté, et d'ambiguité, quant à Luis Amarilo, l'homme au questionnement existentiel, c'est l'expérience de l'âge, la sagesse futée, la bonté portée par l'amour de la nature d'où il tire une certaine sérénité.
Ce roman décapant a le souffle des grands espaces, la profondeur des sentiments qui animent ses protagonistes, et surtout, surtout, il laisse une porte ouverte à la rédemption.
Deuxième opus de la « Trilogie de la poudre », indépendant du précédent volume que j'avais beaucoup aimé, mais qui m'avait cependant laissée sur ma faim, tant la violence était au cœur du propos, « Seuls resteront le vent et la poussière » est un grand roman d'aventure façon western, hyper réaliste dans ses descriptions de l'ouest sauvage de cette fin du XIX° siècle, un roman à la plume acérée et fracassante de beauté.
Et les personnages !
Inattendus, hauts en couleur, animés par des caractères aussi différents que complémentaires, ils sont saisissants d'authenticité et d'absolu, chacun dans le but qu'il s'est fixé.
Ainsi, Vinh marquée à vie par le drame de sa famille est le bras de la vengeance, Kristopher, lui, et un mix de maladresse, de naïveté, et d'ambiguité, quant à Luis Amarilo, l'homme au questionnement existentiel, c'est l'expérience de l'âge, la sagesse futée, la bonté portée par l'amour de la nature d'où il tire une certaine sérénité.
Ce roman décapant a le souffle des grands espaces, la profondeur des sentiments qui animent ses protagonistes, et surtout, surtout, il laisse une porte ouverte à la rédemption.