Croix de Lorraine et croix du sud 1940-1942. Aviateurs belges et de la France libres en Afrique

Par : Vital Ferry

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  • Nombre de pages286
  • PrésentationBroché
  • Poids0.56 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-914622-92-9
  • EAN9782914622929
  • Date de parution01/10/2005
  • ÉditeurGerfaut (Editions du)

Résumé

Juin 1940. Quelques aviateurs belges et français refusent la défaite et quittent l'Europe pour reprendre aussitôt le combat en Afrique aux côtés de leurs camarades britanniques en AEF, Abyssinie, Egypte, Cyrénaïque-Fezzan. Pour la plupart à peine sortis d'école, ils sont jeunes et inexpérimentés. Ils ont pour eux leur foi, leur audace, leur esprit d'initiative et leur volonté farouche. Sur les 287 premiers pilotes de 1940, les pertes dépassent 50 % en dix-huit mois. Ils volent jusqu'en 1942 sur des avions démodés, fatigués, chichement attribués et entretenus avec les moyens du bord, c'est-à-dire rien, par une poignée de mécaniciens harassés ; et ils arrachent la victoire. L'histoire de ces modestes " soutiers de la gloire ", de ces magnifiques " soldats de l'an 1 ", méconnue jusqu'à aujourd'hui, méritait d'être écrite car comme l'a très clairement exprimé le général de Gaulle " Ils "en" avaient... "
Juin 1940. Quelques aviateurs belges et français refusent la défaite et quittent l'Europe pour reprendre aussitôt le combat en Afrique aux côtés de leurs camarades britanniques en AEF, Abyssinie, Egypte, Cyrénaïque-Fezzan. Pour la plupart à peine sortis d'école, ils sont jeunes et inexpérimentés. Ils ont pour eux leur foi, leur audace, leur esprit d'initiative et leur volonté farouche. Sur les 287 premiers pilotes de 1940, les pertes dépassent 50 % en dix-huit mois. Ils volent jusqu'en 1942 sur des avions démodés, fatigués, chichement attribués et entretenus avec les moyens du bord, c'est-à-dire rien, par une poignée de mécaniciens harassés ; et ils arrachent la victoire. L'histoire de ces modestes " soutiers de la gloire ", de ces magnifiques " soldats de l'an 1 ", méconnue jusqu'à aujourd'hui, méritait d'être écrite car comme l'a très clairement exprimé le général de Gaulle " Ils "en" avaient... "