24,99 €
Passés par la case prison
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- Poids0.329 kg
- Dimensions13,7 cm × 20,6 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-7071-8328-6
- EAN9782707183286
- Date de parution11/12/2014
- ÉditeurLa Découverte
- PréfacierRobert Badinter
- PhotographePhilippe Castetbon
Résumé
Marie-Hélène est coiffeuse. Matoub dort sur le canapé de ses parents en attendant de trouver un emploi stable et un logement. Christophe anime un jardin partagé à 50 mètres de la cité de son enfance. Sacha termine ses études de droit et rêve de devenir avocat. Des gens presque ordinaires... qui sont tous d'anciens détenus. Dans le cadre de la campagne "Ils sont nous" de l'Observatoire international des prisons (OIP), ils ont raconté leur parcours à un écrivain : leur vie avant d'avoir affaire à la justice, ce moment où ils ont "basculé", leur découverte de la détention et la trace qu'elle a laissée.
Issus de ces rencontres, huit textes bruts en forme de portraits, d'instants de vie, d'histoires cabossées. Ils nous rapprochent de la vérité crue, celle de l'humain derrière le fait divers. Celle de familles qui se débattent et ne voient pas, de l'école qui oriente vers le décrochage, du quartier qui offre ses cursus parallèles, de la justice et de la prison qui assènent leurs coups. Leurs témoignages et les regards d'écrivains bousculent les images de monstres, racailles ou irrécupérables.
Ils nous amènent à voir ce que la réponse carcérale met à l'abri des regards : le clair et l'obscur existent en chacun de nous.
Issus de ces rencontres, huit textes bruts en forme de portraits, d'instants de vie, d'histoires cabossées. Ils nous rapprochent de la vérité crue, celle de l'humain derrière le fait divers. Celle de familles qui se débattent et ne voient pas, de l'école qui oriente vers le décrochage, du quartier qui offre ses cursus parallèles, de la justice et de la prison qui assènent leurs coups. Leurs témoignages et les regards d'écrivains bousculent les images de monstres, racailles ou irrécupérables.
Ils nous amènent à voir ce que la réponse carcérale met à l'abri des regards : le clair et l'obscur existent en chacun de nous.
Marie-Hélène est coiffeuse. Matoub dort sur le canapé de ses parents en attendant de trouver un emploi stable et un logement. Christophe anime un jardin partagé à 50 mètres de la cité de son enfance. Sacha termine ses études de droit et rêve de devenir avocat. Des gens presque ordinaires... qui sont tous d'anciens détenus. Dans le cadre de la campagne "Ils sont nous" de l'Observatoire international des prisons (OIP), ils ont raconté leur parcours à un écrivain : leur vie avant d'avoir affaire à la justice, ce moment où ils ont "basculé", leur découverte de la détention et la trace qu'elle a laissée.
Issus de ces rencontres, huit textes bruts en forme de portraits, d'instants de vie, d'histoires cabossées. Ils nous rapprochent de la vérité crue, celle de l'humain derrière le fait divers. Celle de familles qui se débattent et ne voient pas, de l'école qui oriente vers le décrochage, du quartier qui offre ses cursus parallèles, de la justice et de la prison qui assènent leurs coups. Leurs témoignages et les regards d'écrivains bousculent les images de monstres, racailles ou irrécupérables.
Ils nous amènent à voir ce que la réponse carcérale met à l'abri des regards : le clair et l'obscur existent en chacun de nous.
Issus de ces rencontres, huit textes bruts en forme de portraits, d'instants de vie, d'histoires cabossées. Ils nous rapprochent de la vérité crue, celle de l'humain derrière le fait divers. Celle de familles qui se débattent et ne voient pas, de l'école qui oriente vers le décrochage, du quartier qui offre ses cursus parallèles, de la justice et de la prison qui assènent leurs coups. Leurs témoignages et les regards d'écrivains bousculent les images de monstres, racailles ou irrécupérables.
Ils nous amènent à voir ce que la réponse carcérale met à l'abri des regards : le clair et l'obscur existent en chacun de nous.
